I
l.31 à 33 : fuir beaucoup = moins important que de fuir 4 lieues → double ironie, fuir = défaite (argent) → le roi fait une tarification de la fuite.
B) La candeur du narrateur (candeur entraîne une vérité plus critique, une plus grande liberté de parole → propriété du bouffon dans la cour du roi)
L.1-2 « vieux » → il parle comme un enfant qui dirait ce qu’il pense → illusion du vrai + vrai personnage
« si longtemps » → hyperbole = enfantin, exagération enfantine
L.34 → « magnifique surtout dans ses bâtiments » → Besoin d’ornement → Il n’est pas magnifique
I) Les défauts du roi
A) La soif de pouvoir
L.3-4 « haut talent » qui s’oppose avec la « famille » = « cour » = « Etat » → mélange tout, il n’y a pas de discernement, ni de cohérence. Aucune distinction des sentiments entre la famille et la cour. Le roi est un tyran mais il paraît pourtant faire son éloge au début.
L.11 « ministre de 18 ans » → facile à manipuler
L.17 « craint d’avoir un bon général » → trop de pouvoir, donc peu manipulable.
L.11-12 pas de rigueur religieuse → il ne veut pas qu’on le critique ou le reproche si jamais il ne suit pas les rigueurs de la religion. Son pouvoir ici bas est plus important que de gagner sa vie au paradis en suivant les règles religieuses.
L.15 faire parler de lui → il veut être au centre, seul lui compte.
L.14 fuit le tumulte →il se tient loin des révoltes et il contrôle les nobles.
L.23 à 27 → l’oisiveté est plus importante que des campagnes + quelqu’un qui sert une serviette à table est plus important que quelqu’un qui prend une ville ainsi il ridiculise les nobles → il divise les gens qui ont du pouvoir, ainsi il gagne lui même du pouvoir.
L.21 → dettes qu’a le roi suite aux guerres pour gagner du pouvoir et aux constructions de châteaux (Versailles, Invalides) qui sont des symboles de pouvoir.
B) Vieillesse , caprice – grabataire.
L.7 « lui plairait » → jugement superficiel, non renseigné, comme un enfantin il n’attend