J.l. borges - de tous les instruments de l’homme, le plus étonnant est, sans aucun doute, le livre.
574 mots
3 pages
Je tenterai d’analyser une citation de J.L. Borges. Dans son livre « El libro » il a écrit : « De tous les instruments de l’homme, le plus étonnant est, sans aucun doute, le livre. » Il considérait le livre comme étant très important dans la vie de l’écrivain et du lecteur. Selon lui, le livre est le prolongement de la fantaisie et des idées de l’auteur. Le livre crée donc une relation entre créateur et nouveau propriétaire. Une définition du terme ‘livre’ s’impose. Plusieurs définitions sont disponibles. Lachâtre, Littré ou même l’Académie française parlent tous d’un assemblage de feuilles imprimées. Cet assemblage cherche un nouveau propriétaire qui apprécie et qui dévorera sa teneur présentée. Néanmoins, le contenu de l’ouvrage est moins important dans cette analyse. Les idées des écrivains, largement diffusées grâce à l’imprimerie, se basent sur l’imagination de l’auteur qui veut inspirer l’homme. Cette publication est alors un des instruments maniés par les auteurs. Un philologue et un linguiste réputent certainement le livre comme indispensable. Pourtant, on peut trouver d’autres instruments utilisés. On trouve énormément d’éléments dans différentes sciences ou dans les habitudes de l’homme. Un laborantin par exemple, emploie un microscope et toutes sortes de machines. Pour ce laborantin, le livre ne constitue donc pas nécessairement l’instrument le plus étonnant. Un garagiste se passionne sans doute pour une voiture et un livre ne lui donne pas forcément satisfaction. Un médecin cherche sa connaissance dans le livre, mais possède d’autres qualités ou compétences pour sauver des gens. Une conclusion plausible est que, pour l’être humain, le livre est de toute façon un instrument dans sa recherche de connaissances, mais seulement étonnant pour les personnes qui s’en servent et qui sont passionnées. Chaque individu a tendance à créer une réflexion de ses mémoires. Même auparavant, à l’époque des Egyptiens, on employait du papyrus pour noter des faits essentiels