L'affiche rouge
En 1944, de plus en plus de français s'éloignent du gouvernement de Pétain qui collabore et qui aide les Allemands a arrêter les Juifs et les résistants. Les mouvements de résistance se développent ; jean moulin meurt après avoir été arrêté et torturé par la Gestapo alors qu'il avait été chargé par De Gaule d'organiser la résistance en France.
C'est dans ce contexte que l'Affiche Rouge fut placardé partout en France.
L'affiche rouge est une affiche de propagande placardé en france dans le contexte de la condamnation a mort des membres des FTP – MOI (Francs-Tireurs et Partisans - Main-d'Oeuvre Immigrée)
Le groupe Manouchian se composait de 23 résistants communistes, dont 20 étrangers, des espagnols, des italiens, des arménien et des juifs.
Les 23 hommes furent arrêtés en novembre 1943 jugés en février 1994 puis condamnés à mort le 21 février 1994. La seul femme du groupe, est décapitée le 10 mais de la même année en application du manuel des droits criminels de la Wehrmacht interdisant de fusiller les femme.
Cette affiche aurait été placardé au moment du procès des 23 membre du groupe Manouchian. L'éditeur de l'affiche, non mentionné sur celle-ci serait, d'après Michel Walassikoff, le Centre d'Étude Antibolcheviques (CEA). Le CEA qui était un organisme français créé par la légion des volontaires français en Juin-Juillet 1941.
L'affiche a été vu à Paris, Nantes et à Lyon. Mais certain auteur parlent d'une diffusion dans toute la France. Certain dissent que l'affiche fut imprimé plus de 15 000.
Cette affiche contiend :
Une phrase d’accroche : « des libérateurs ? La libération ! Par l'armée du crime »
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