L'albatros
Ce poème isométrique intitulé « L’albatros » est un extrait tiré du recueil Les Fleurs du mal (1861) de Charles Baudelaire. Dans ce poème, l’auteur perçoit le poète comme étant un être inadéquat dans la société. Tout d’abord, dans cette ode, Baudelaire, présente deux visions opposées à l’albatros. Le vers suivant illustre l’opposition entre ses différentes visions. : « Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux, ». En effet, comme l’explique cette antithèse, l’image qui est projetée par cet oiseau évoque l’idée d’un être à l’allure remarquable et dégradant. De plus, les vers suivants viennent aussi appuyer l’antithèse puisqu’il définit l’albatros sous d’autres aspects contraires. « Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule! / Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid. » En d’autres mots, lorsqu’il est envol, il est d’une beauté extraordinaire, mais lorsque posé, il est hideux. En affirmant ceci, l’auteure met évidence l’opposition entre ses différentes visions. Ensuite, dans la dernière strophe de ce poème, l’auteur utilise la comparaison pour comparer le poète à l’albatros. Dans le premier vers de la quatrième strophe, l’auteur écrit : « Le poète est semblable au prince des nuées». Le poète lorsqu’il est enfoui dans ses propres pensées, à l’impression d’être à son apogée comme l’oiseau envol. Comme le vers suivant l’illustre : «Ses ailes de géant l’empêchent de marcher » A cet effet, dans la société le poète est autant inférieur à l’albatros face eux membre de l’équipage. Bref, l’oiseau se voit esclave de l’équipage, ce qui fait un lien avec le poète qui se voit prisonnier dans la société. Selon l’auteur de cette œuvre, le poète occupe une place inappropriée dans ses interactions avec les autres membres de la