« Expression utilisée dès le début des années 2000 pour désigner une nouvelle approche de la communication publicitaire utilisée par certaines grandes marques de luxe. Jusqu’alors habituées à un scrupuleux respect des codes conventionnels du luxe, elles n’hésitèrent pas à emprunter axes, visuels et/ou accroches à connotations pornographiques. Un décalage aussi brutal permit non seulement de rajeunir soudainement certaines marques utilisatrices, de modifier leur image souvent jugée « trop réservée » mais surtout de susciter un intérêt conséquent de la part de média qui relayèrent – et donc amplifièrent – cet effet de mode. « Contrairement à une préoccupation et un scepticisme récents à propos des effets négatifs quant à l’utilisation d’un contenu publicitaire choquant, ce type de stratégie de communication peut être très efficace. La publicité qui est générée le plus souvent, due à la nature contre les normes des publicités choquantes, n’est pas nécessairement considérée comme négative ou inefficace. » (Source : emarketing.fr)

Sommaire
Introduction

I. Pourquoi cette problématique
II. Objectif spécifique de l’étude
III. La méthode choisie : quantitative

La méthodologie de la recherche

I. Thème de recherche et problématique
II. Construction d’un modèle d’analyse
III. Observation et recueil des données
IV. Analyses des données
L’enquête

I. Le comportement du consommateur face au porno-chic
II. Caractéristiques et multiplicité des formes de porno-chic
III. Les facteurs individuels
IV. Les limites
V. Résultats du questionnaire

Conclusion

I. Conclusion générale

Annexes
Bibliographie

Introduction

Le porno chic ? Mais qu’est ce que c’est ?
Dans la publicité la concurrence est dure, tous les moyens sont bons et un seul but : le consommateur doit se souvenir du produit, de la marque, du jingle…. Et pour qu’il se souvienne, il faut le marquer. Par l’humour, par l’envie, par l’étonnement ou le dégoût, en suscitant ses