TEXTE 14 : « L’ENNEMI », CHARLES BAUDELAIRE, LES FLEURS DU MAL
Introduction : Charles Beaudelaire est un poète maudit. Il n’appartient à aucun mouvement littéraire, n’a jamais voulu être connu et a fait une tentative de suicide. Cependant, malgré sa volonté, il reste une référence à la poésie francaise, notamment par ses œuvres Les Fleurs du Mal ou Le Spleen de Paris ou par la modernité dont il fait preuve en trouvant le beau dans le laid. Les Fleurs du Mal est un recueil de poèmes traitants plusieurs sujets comme la mort, le vin, la révolte…On peut remarquer que le titre est oxymorique, tout comme Le texte étudié est le poème liminaire. Comment ce poème s’inscrit dans la 1ère partie de Spleen et Idéal ? I. Les saisons d’une vie A. La jeunesse : l’été alternance entre l’ombre et la lumière « orage tonnerre, pluie, ravage » / « brillants soleils » >représentation du Spleen et Idéal, de l’espoir et du désespoir le bilan de la jeunesse se poursuit par la métaphore du jardin dévasté

B. Syndrome de la page blanche : l’automne »automne des idées » > page blanche champ lexical de la reconstruction « pelle, râteaux, à neuf » description de la destruction du temps « l’eau » qui creuse « des tombeaux » >des cercueils. Essaye de reconstruire mais pas assez. (Idéal puis Spleen)

C. L’espoir et l’inspiration : l’hiver toute cette partie s’inscrit dans l’Idéal hypothèse sous forme de ? réthorique « qui sait » espoir « fleurs nouvelles , rêve » fleur = renaissance accuentée par « nouvelles »
Asonnance avec « rêve », espoir du poète
Allusion « automne des idées »/ « fleurs nouvelles » > volonté de créer de nouvelles poésies. »mystique..vigueur » > quelque chose de nouveau à créer avec l’allure de rite, de purification (dimension religieuse de mystique)

II. Le poète et le temps qui passe A. Le temps qui conduit le poète à sa perte
Le temps qui passe va être à l’origine de ce Spleen. Le poète en à conscience mais ne peut rien faire pour