L'ensorcelée
Attention : je n’ai eu que 10/20 sur cette introduction donc ne prenez que quelques idées du texte.
Jules Barbey d'Aurevilly est un auteur du XIXème siècle né en Normandie en novembre 1808 et mort à Paris en avril 1889. Il été romancier, nouvelliste, essayiste, poète, critique littéraire, journaliste, et polémiste. Né au sein d’une ancienne famille normande, il est entrainé dès son plus jeune âge dans les idées catholiques, monarchistes et contre-révolutionnaire. Ses romans et nouvelles mélangeant des éléments du romantisme, du fantastique (ou du surnaturalisme), du réalisme historique. Certains écrivains comme Victor Hugo ou Emile Zola ne l’appréciaient guère. L’Ensorcelée (1855), a été écrit lors d’un changement de vie de l’auteur qui revient alors à sa foi catholique où il s’éloignât de la réalité. Dans ce roman fantastique, l’abbé de la Croix-Jugan décide de se suicider mais n’y parvient pas, il vit alors avec une horrible blessure au visage. Il est ensuite assassiné par un homme dont sa femme était émerveillée par l’abbé, sa figure est alors encore plus monstrueuse. Un an plus tard, un homme le surprend en train de faire la messe dans une église abandonnée. Comment Barbey d’Aubervilly arrive-t-il à faire pénétrer la peur chez le lecteur ? Nous allons voir, dans une première partie, la composition argumentatif de ce texte, puis dans une deuxième partie, nous allons aborder la scène de la messe macabre et enfin dans une dernière partie, comment le diable est présenter dans ce texte.
Jules Barbey utilise la peur d’un personnage habituellement courageux et quelques procédés argumentatifs tels que le champ lexical du feu ou aussi quelques comparaisons et métaphore. Il exploite aussi la focalisation interne avec l’utilisation des sentiments. Et il se sert enfin de la description de la scène lugubre et du physique hideux du personnage de l’abbé.
Jules Barbey d’Aurevilly