L’état de santé des migrants de première et de seconde génération en France

Dans cette partie, nous allons soulever certaines limites liées à l'étude des inégalités de santé des migrants de première et seconde génération en France.

Les résultats de cette étude, nous montre qu'il existe des inégalités d’état de santé entre la population immigrée et la population native française. Cependant plusieurs composantes indispensables n'ont pas été pris en compte.
Comme nous l'explique cette étude, les enquête précédentes faites sur l'état de santé des migrants de première comme de seconde génération en France est frappée par des barrières d'informations indispensable à leurs sujet. En effet, un manque considérable de précisions et de renseignements se fait ressentir, notamment sur la nationalité et le pays de naissance des migrants. Qui plus est, le nombre d’enquêtes faites à leurs égards, reste clairsemé. Ce qui a pour conséquence, des résultats d'analyse souvent contradictoires et illogiques. En effet, on peut le retrouver dans certaines de ces enquêtes des conclusions antinomique comme le fait que la population immigrée présente un meilleur état de santé que la population native.
L'incohérence dans ces études s'explique donc, par un manque de données mais aussi par certains facteurs utilisés comme la maladie, la mortalité, le niveau de revenu ou même les conditions de travail.
L'étude faite par Caroline Berchet et Florence Jusot a cependant, corrigé et complété les études antérieures, en utilisant d'autres agents essentiel à l’étude de l’état de santé des migrants en France.
En effet , la prise en compte des habitudes de vie, les conditions socioéconomiques et le capital social des migrants a considérablement améliorée l'étude. En effet, le capital social des migrants est intimement lié à leur dégradation de santé. En revanche le capital social possède un caractère multidimensionnel, qui n'a pas été exploité dans sa totalité. La participation sociale et le