Hiba sidki 23 sept 2013 Français 11 IB Commentaire: | Note: |

Plan de commentaire compose de la premiére partie de l’étranger p.62 à 64

Sujet amené : un acte qui determine la suite de son existance. ‘’c’était comme quatre coups bref que je frappais sur la porte du malheur’’ - derniere ligne du chapitre 6 de la premiere partie.

Sujet posé : Le monté du drame et comment est-ce que Meursault arrive à ce point là.

Sujet divisé: - Comment le champ lexical démontre le mode d’expression de l’auteur. * les sentiments et la conscience de Meursault.

Idées principales: La montée en puissance du drame. C’est quoi qui monte le drame? * Le champs lexicale: La chaleur qui augmente de plus en plus, intensité que sa donne (effet negative de la chaleur et du soleil ). Ex: p.62 premiere ligne: ‘’Toute la chaleur qui sappuyait sur moi’’; nous fait ressentir la force qui est mit sur lui. Ex2 :p. 62. Ligne 14 : ‘’j’avais envie de fuir le soleil’’; Il ne voulait pas faire ce qu’il fesait mais plutot le fuir n’avait pas de pouvoir pour le faire. Le soleil nous fait ressentir comme si sa represente pour Meursault est une souffrance et une douleur avec la façon qu’il les exprimes. Donne l’effet comme si c’est le soleil qui le controle. On trouve aussi les movement de son corps par exemple les sourcils, visage, peau, front, joues, mes yeux, paupière, cils, veines, yeux, main. Ceci est aussi un champ lexicale qui nous approche a l’action que son corps ferra qui monte du visage et approche a ces main de plus en plus. Les movement de son corps nous aide à imaginer comment il se sens, l’auteur veut nous permettre d’être à sa place avec des movement de corps qui nous relie au sentiment de Meursaut. - Le mode d’expression et figures rhetorique : la gradiation et la repetition de la chaleur. Ex: grand soufflé chaud sur mon visage, l’air englammé, l’ancre dans un ocean de metal boillant, cette brulure que je ne pouvais plus