L'etranger
En effet, la vie d'un prisonnier n'est pas très gai, ni très festif, elle est assez triste, constitué de même geste tout au long de la journée. Notre prisonnier, Meursault nous a démontré la monotonie de son quotidien. On peut distinguer des le début que la monotonie se ressent par le rythme de la prose. L'auteur cherche à garder un rythme fluide, il succède son texte de phrases courtes, simples et explicites. Cependant, à deux reprises il fait des phrases longues, faites de juxtapositions. La première concernant tout les biens qu’il portait sur lui à son entrée en prison. La seconde étant sur les souvenirs de sa chambre, des meubles aux objets qui s'y trouvait puis tout les détails concernant ces objets et finalement pour tout ces détails. Aussi on peut lire au début de la ligne 10 qu’il s’ennuie car en effet, la monotonie est source d’ennuis. De plus comme je l’ai dit précédemment, il cherche à « tuer le temps », il se remémore sans cesse le même souvenir, de plus en plus en détail, il ne pense qu'à cela, le souvenir de sa chambre est la seule chose qui occupé ses pensées. Ensuite, nous remarquons que finalement tout ce qu'il cherche c’est d’occuper ses pensées