Après une première lecture du livre, j’ai trouvé ce livre très bizarre et morbide des la première page. Le narrateur apprend la mort de sa mère et semble prendre la décision de manière légère. Ce n’est qu’après avoir lu le livre en profondeur, après une lecture sociologique, psychologique et philosophique que j’ai pris compte de la profondeur de Meursault, le protagoniste et de sa vision de la vie. C’est aussi après avoir aborder les thèmes tels que l’absurdité et la mort que le livre devient très prenant et envoutant. Son point de vue sur la vie n’est pas comme tout le monde.

Après la lecture du livre, on comprend qu’il existe un aspect sociologique au livre, en tenant compte de l’asile ou habitait la mère qui est toujours commun en Europe, le décor misérable, ou l’on y trouve que la partie prolétaire de la société, une vie très modeste ou aller se baigner ou aller au cinéma est un luxe et une organisation dans le système juridique. Nous comprenons donc, que la vie du narrateur se situe dans un contexte qui existe toujours, d’où mon argument que Albert Camus a écrit un livre moderne et universel, car dans chaque société moderne, cette mode de vie existe toujours, il existe toujours un système juridique et un classement social.

De plus, une lecture symbolique du roman permet d'en tirer des 'leçons' universelles, telle que, la franchise. La manière avec laquelle Meursault reste un homme honnête jusqu'à la fin du livre nous montre qu’il existe des gens fideles a leur conviction : la franchise. C’est sure qu’il a commit un meurtre, mais plutôt que de se cacher ou tenter de s’innocenter, il a pris responsabilité pour son acte. Ce concept y donne une touche d’absurde, car son excuse pour le meurtre de l’Arabe est qu’il faisait très chaud et que le soleil le troublait. Mais ce qui cause la confusion, c’est son honnêteté en parlant du meurtre, pour lui, cette raison n’est pas absurde car c’est la vérité. Ce trait de caractère existe toujours dans la société moderne