L'etranger
Dans un premier temps nous allons étudié l'omniprésence du soleil, puis nous analyserons la fin d'une époque, d'une partie,de la liberté et l'avénement du malheur.
Tout d’abord, nous pouvons constater que cette scène a tout d’une scène de tragédie dramatique, le soleil, sa chaleur et sa lumière sont omniprésents dans cet extrait : "La brûlure du soleil gagnait mes joues " l.6-7, "A cause de cette brûlure que je ne pouvais plus supporter " l. 11-12, " Cette épée brûlante " l.26. Le soleil étouffe Meursault, ce qui le rend mal alaise à cause de la chaleur, il semble opprecer et proche du virti,on comprend alors que pour Meursault, loin d'être positif, ce soleil et cette chaleur sont d'uneextrême violence.
Notre hypothèse de lecture est paradoxal puisque la lumière sert à voir or dans le passage, elle est si violente qu'elle rend Meursault aveugle, " La lumière a gicler " l.17, " Mes yeux été aveugler " l.22, " Le glaive éclatant jailli " l.25, " Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux " l.26-27. Tous comme pour la chaleur, on se rend compte que la lumière est hyper violente, au point de transformer un poignard en glaive et de rendre l'éblouissement de Meursault, une douleur intolérable.
Non seulement, ce passage est écrit à la première personne et en plus Meursault ne parle que de ce qu'il éprouve et de ses propres sensations, "gouttes de sueur s'amasser " l.7, " je ne sentais plus que les symboles du soleil sur mon front " l.23. Ce passage nous rével l'égosentrisme de Meursault sur lui même, loin de nous raconter le récit de différent événement, il nous raconte uniquement par le seul filtre de ce qu'il