L'homme et/ou la machine

1766 mots 8 pages

L’homme et/ou la machine

Introduction

A notre époque, la machine a une place très importante dans notre vie mais heureusement n’a toujours pas réussit à remplacer l’homme.

Les machines, c’est à dire, pour reprendre la définition du dictionnaire, des "ensembles de dispositifs destinés à recevoir une certaine forme d’énergie et à la transformer pour produire un effet donné", ont été le plus souvent conçues dans un contexte de production industrielle mais également dans l’aspect personnel car on les utilise tous les jours.

Problématique : L’homme peut il se passer des machines ?

Plan :

• Introduction • I. La machine au service de l’homme A- Au travail B- Dans la vie de tous les jours • II. La machine est elle néfaste pour l’homme ? A- La machine est néfaste pour l’homme 1°- Dans le monde du travail 2°- Dans la vie de tous les jours B- La machine n’est pas néfaste pour l’homme 1°- Dans le monde du travail 2°- Dans la vie de tous les jours • Conclusion

Historique

Jusqu'au début des années 1900 :

C'est la période du taylorisme qui se définit par le travail à la chaîne, l'activité manuelle qui dominent. La distribution du travail se fait par une transmission d'ordres et la définition stricte des tâches permet au premier de pouvoir mieux contrôler les seconds. L'homme est " un muscle " obéissant.

Le taylorisme est une méthode de travail dans l'industrie mise au point par l’ingénieur Frederick Winslow Taylor. Elle consiste en une organisation rationnelle du travail qui est divisé en tâches élémentaires, simples et répétitives, confiées à des travailleurs spécialisés.
L'objectif du taylorisme est d'obtenir la meilleure productivité possible des agents au travail et une moindre fatigue. Le taylorisme est l'une des composantes du travail à la

en relation

Métaphore arrêt du tabac (hypnose)
553 mots | 3 pages

amis sont comme moi » et il n'y pensait plus pendant quelques temps. Un jour, son patron lui fit une proposition alléchante. Une machine révolutionnaire venait d'arriver et il lui proposait de la prendre en main. Plus de geste répétitif, un guidage par la voix, auto-nettoyante et comble du luxe sans odeur !….

montre plus
Flipper
371 mots | 2 pages

Il avait l’impression que les bouton de la machine s’étiraient comme de longs bras et l’agrippaient par les poignets afin de l’attirer dans son piège. Dès qu’il insérait sa pièce de monnaie, la machine prenait vie. Alors, une sensation de puissance et de passion folle le possédait. Le fronton était la partie la plus séduisante de la machine : deux cercles lumineux le consultaient d’un regard malin et une bouche dévorait la somme de ses points. Un visage qui lui faisait peur mais qui en même temps l’attirait dangereusement.….

montre plus
Corpus
323 mots | 2 pages

Tu ne penses pas? , dit-il d'une voie angoissée. Cette machine a peut être été tout simplement amené ici à la demande de l'école?, pensais-je.….

montre plus
Travaux
482 mots | 2 pages

Ma femme, découragée, me regarda impatiemment comme toujours en attendant le miracle. Elle m’énervait, ca faisait des années que je ne ressentais plus rien pour elle, mais c’était la seule qui pouvait me faire vivre. Quelques instants plus tard, je crus avoir fini de réparer ma machine. Ma femme, qui était mon assistante, entra dans l’engin et quelque chose se passa d’inattendu. Il y eu plein d’étincelle et le mécanisme trembla terriblement.….

montre plus
Foudre
976 mots | 4 pages

Présentateur : Quel lien entre cette machine et l’éclair dans….

montre plus
Charlie chaplin
740 mots | 3 pages

1. Pendant le défilement du générique, sur quoi reste fixée la caméra ? Pourquoi ? = Il s’agit d’une horloge afin de montrer que tout désormais se fait en fonction de l’horloge donc de l’heure.….

montre plus
Arendt condition de l'homme moderne
2006 mots | 9 pages

Devenu usager et objet ou moyen des machines, l’Homme est ainsi menacé dans l’appropriation qu’il se fait du monde par son travail. L’enjeu de ce texte est donc de penser la liberté de l’Homme dans un monde soumis au pouvoir grandissant des machines. Dans un premier temps, Arendt rappelle les discussions stériles et sans fin consistant à opposer l'outil et la machine. Il faut y voir une remise en question du préjugé qui critique tout progrès technique comme menaçant une nature prétendument généreuse et féconde par elle-même.….

montre plus
Dissert
1275 mots | 6 pages

2) La machine est un agent de progrès car elle permet aux plus démunis de se procurer beaucoup d’objets utiles qu’ils ne pouvaient se procurer avant. Cela devient possible car la machine produit des biens moins chères que s’ils étaient produit par l’Homme. De plus, les performances d’une machine sont souvent meilleures que celles des hommes, comme l’explique le témoignage présent dans le texte.….

montre plus
Philo
874 mots | 4 pages

Poclet Antoine TS6 Commentaire de texte: G.SIMONDON, L'indivuduation psychique et collective Dans ce texte de Gilbert Simondon intitulé « L'individuation psychique et collective ». Il expose son idée, qui va à l'encontre de ce que pense la ''communauté'', il affirme que l'homme n'est pas asservit par les machines. Car il est vrai que depuis le XIXe siècle, l'utilisation des machines dans les industries, entraînent de nombreuses critiques, on reproche au développement technique d'avoir fait de l'homme un esclave, il ne font que s'adapter aux machines. Comme par exemple dans le film « Les temps modernes » de Charlie Chaplin.….

montre plus
Claudel
1207 mots | 5 pages

Je m’appelle Brodeck et je n’y suis pour rien. Je tiens à le dire. Il faut que tout le monde le sache. Moi je n’ai rien fait, et lorsque j’ai su ce qui venait de se passer, j’aurais aimé ne jamais en parler, ligoter ma mémoire, la tenir bien serrée dans ses liens de façon à ce qu’elle demeure tranquille comme une fouine dans une nasse de fer. Mais les autres m’ont forcé : « Toi, tu sais écrire, m’ont-ils dit, tu as fait des études.….

montre plus
Les animaux ont-ils des droits
445 mots | 2 pages

La machine animale a cette seule supériorité d'être mieux ordonnée que la machine fabriquée par l'homme. Il reste qu'une machine, quelle qu'elle soit, n'a pas de droit, car ce n'est pas une personne. ► 2.….

montre plus
Faut-il avoir peur des machines?
812 mots | 4 pages

Qu’est-ce qu’une machine ? En quoi est-elle différente d’un simple outil par exemple ? La machine se caractérise par son fonctionnement mécanique (besoin de peu d’énergie humaine) et son automatisme (besoin de peu d’interventions humaines). On peut comprendre d’où vient la peur des machines, nous avons l’impression qu’elles nous mettent à l’écart, qu’elles nous dépassent.….

montre plus
avoisjhuireh oei
716 mots | 3 pages

Le taylorisme doit son nom de son concepteur, l'ingénieur américain Frederick Taylor. Le modèle taylorisme, aujourd’hui profondément remis en cause, correspond au découpage du travail en tâches précises, prescrites et répétitives. Il est le produit d’une société hiérarchisée, et surtout empreinte d’un passé collectif fait d’épreuves hors du commun (les deux guerres mondiales). Les entreprises elles-mêmes s’intéressaient alors d’abord aux résultats collectifs, puisque seule comptait finalement l’augmentation de la production. On doit sans surprise à cette organisation l’apparition de solidarités dans le collectif de travail, qui ont elles-mêmes notamment donné naissance au mutualisme et aux œuvres sociales…….

montre plus
L'homme et le sacré
313 mots | 2 pages

Adaptation de l’homme à la machine La différence décisive entre les outils et les machines trouve peut-être sa meilleure illustration dans la discussion apparemment sans fin sur le point de savoir si l'homme doit « s'adapter » à la machine ou la machine s'adapter à la « nature » de l'homme. Nous avons donné au premier chapitre la principale raison expliquant pourquoi pareille discussion ne peut être que stérile : si la condition humaine consiste en ce que l'homme est un être conditionné pour qui toute chose, donnée ou fabriquée, devient immédiatement condition de son existence ultérieure, l'homme s'est « adapté » à un milieu de machines dès le moment où il les a inventées. Elles sont certainement devenues une condition de notre existence aussi inaliénable que les outils aux époques précédentes.….

montre plus
Le progrès technique
584 mots | 3 pages

: l’homme n’intervient plus que pour mettre la machine en route La machine s’alimente donc elle-même par des mécanismes d’autorégulation (aspirateur robot). Elle est plus accentuée dans les secteurs secondaires mais aussi récemment surtout dans le secteur tertiaire (transport). 13 conséquences : - rend le travail de l’homme plus facile - augmentation de la production - innovation, de nouveaux produits - rend possible le développement de certains secteur d’activité - augmente le genre et le niveau de vie des ménages - les prix de vente des produits diminuent car les prix de revient diminuent - constitutions de grandes entreprises avec des capitaux important - naissance de grandes agglomérations industrielles - malaise social car engendre le chômage - rejet de certains travailleurs moins qualifiés car ils prennent des plus qualifiés pour le même poste - les travailleurs restés au travail reçoivent des augmentations - les travaux pénibles sont en diminution car les machines s’en occupent - permet un travail précis, régulier et continu (machine plus fiable que l’homme).….

montre plus