L'homme et ses droits

263 mots 2 pages

09/09/2013

L’Homme et ses droits

Dignité, Justice, Égalité

Égalité : Absence de toutes discriminations entre les êtres humains, sur le plan de leurs droits.
Justice : Principe moral qui exige le respect du droit et de l'équité.
Dignité : Respect que mérite quelqu'un ou quelque chose.
Universelle : Qui embrasse la totalités des êtres et des choses.
Droit fondamental : Ensemble des droits considérés comme essentiels.

Nous sommes entourés de ces mots tout autour de nous : L’égalité entre l'homme et la femme, l’efficacité de la justice et même de la dignité humaine. Tous parviennent de la convention universelle des droits de l’homme et du citoyen qui nous ai à tous accordé à notre naissance apparue en 1789.

"Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et ils doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité."

On les appelle les droits de l’Homme parce qu’ils sont universels. Alors que des pays ou des groupes spécialisés bénéficient de droits spécifiques qui ne s’appliquent qu’à eux, les droits de l’Homme s’appliquent à tout le monde.

Chaque citoyen possède des droits et des devoirs et doit veillez à respecter ceux des autres. Néanmoins le respect d’autrui ne ce limitent pas à des obligations juridique mais aussi à des responsabilités morales. Dès lors nous devons faire preuve de civisme et de civilité, pour ainsi rendre la vie en société supportable.

La dignité, la justice et l'égalité sont des piliers fondateurs de notre société et doivent être maintenus pour défendre un équilibre de

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Une fois de plus il regrette « l’inhumanité » du système, et appel en premier lieu au respect du droit du citoyen, le respect des lois (arbitraires et donc injustes) : « Je pense que nous devons d’abords être des hommes, des sujets ensuite. Le respect de la loi vient après celui du droit. La seule obligation que j’ai le droit d’adopter c’est d’agir à tout moment selon ce qui me paraît juste. ».….

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Il est question des droits fondamentaux qui y figurent, et le respect des droits de la défense et le droit à une protection juridictionnelle effective, en font partis l’article 41, paragraphe 2, de la charte des droits fondamentaux de l’Union, le deuxième, à l’article 47 de la Charte, exige que l’intéressé puisse connaître les motifs sur lesquels est fondée la décision prise à son égard soit par la lecture de la décision elle- même, soit par une communication de ces motifs faite sur sa demande, sans préjudice du pouvoir du juge compétent d’exiger de l’autorité en cause qu’elle les communique, afin de lui permettre de défendre ses droits dans les meilleures conditions possibles et de décider en pleine connaissance de cause s’il est utile de saisir le juge compétent En outre, l’existence d’une violation des droits de la défense et du droit à une protection juridictionnelle effective doit être appréciée en fonction des circonstances spécifiques de chaque cas d’espèce En l’occurrence, il y a lieu de vérifier si, eu égard aux exigences résultant, notamment, des articles 3, paragraphes 1 et 5, TUE et 21, paragraphes 1 et 2, relatif à la préservation de la paix et de la sécurité internationales dans le respect du droit international, en particulier, des principes de la charte des Nations unies, l’absence d’accès de M. Kadi et du juge de l’Union aux informations et aux éléments de preuve retenus à l’encontre de l’intéressé, dénoncée par le Tribunal, notamment, aux points 173, 181 et 182 de l’ arrêt attaqué, constitue une violation des droits de la défense ainsi que du droit à une protection juridictionnelle effective.….

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