L’homosexualité a indéniablement été présente à travers les différentes périodes de l’histoire. Par contre, la vision du peuple diffère selon l’époque et la société. En Grèce antique l’homosexualité n’est pas mal vue, au contraire. La pédérastie était un rituel important pour la transition vers le monde adulte. Il y a quelques nuances pour complètement conclure que l’homosexualité est acceptée en Grèce ancienne. Maurice Sartre, un historien, a écrit un texte : L’homosexualité en Grèce ancienne qui explique sa thèse sur ce sujet. Dans la rédaction qui suit, le sujet va être basé sur la thèse de M. Sartre.

Tout d’abord, le texte de M. Sartre peut être soutenu, car c’est un auteur et historien compétent. Il est passionné par l’histoire, particulièrement du monde Grecs et du monde romain oriental. Il a fait c’est étude universitaire à Lyon, dont sa maitrise sous la direction de Pierre-Vidal-Naquet sur le thème de la frontière dans la Grèce antique. Il a plusieurs expériences intéressantes, dont une qui est sa participation aux campagnes archéologiques en Afghanistan. Avec ses maintes qualifications Sartre est maintenant professeur d’histoire ancienne en France, à L’université François-Rabelais de Tours.
Dans son texte sur l’homosexualité en Grèce ancienne, Maurice Sartre affirme que pour les Grecs, toutes personnes peuvent être à leurs tours homosexuels et hétérosexuels. Également, la pratique de la pédérastie était encouragée dans les sociétés grecques anciennes. Pour ce qui est de l’homosexualité masculine adulte, elle n’était pas autant favorisée que la pédérastie, mais elle n’était pas non plus interdite.

Tout d’abord, d’après quelques sources, l’évidence est que les amours masculines semblent être surtout en faveur dans les milieux aisée. Que ce soit des héros connus ou des gens de la société aucun n’était classé homosexuel même si ils avaient des aventures masculines. Ensuite, la pédérastie présente dans les sociétés, était vue comme une relation