1 ) L’importance des groupes : Nous appartenons tous à des groupes. La naissance se fait dans un groupe car il y aura forcement la mère. La crèche, la maternelle, les groupes de loisirs, d’amis, de formations, …, nous sommes continuellement dans des groupes. En tant qu’être humain, nous recherchons des groupes car nous avons un besoin de partager nos idées et nos émotions. La reconnaissance est donc un besoin humain ( on montre que l’on sait ). On partage nos idées pour qu’elles existent, ainsi que nos émotions, que se soit la joie ( ex. : envie de sortir quand on est heureux ), ou la tristesse ( ex. : envie d’être réconfortée après une rupture ). L’humeur fait qu’on a envie ou non d’être en groupe, car on a cependant l’impression que le groupe nous vole notre liberté. On est dépendant du groupe. De plus, on remarque aussi qu’on a l’impression que les groupes fonctionnent plus ou moins bien. Un groupe Bien serait un groupe où l’on pourrait partager tous ce qu’on veut, qu’il y est du soutient, de la tolérance, des projets, de la sincérité, qu’on rigole, … Cette impression se fait selon chaque individu, selon la place qu’on a dans un groupe, selon la période, … Cette ambivalence s’explique par 3 points :
1.Le groupe est à la foi le meilleur moyen de construire son identité, mais s’est aussi un instrument d’aliénation ( soumission implicite au groupe ).
2.Le groupe est à la foi un lieu de participation et de réconfort, mais s’est aussi un lieu d’exclusion pour certain.
3.Le groupe est à la foi un formidable moyen de changement et d’innovation ( partage, effet de synergie, … ) mais s’est aussi un redoutable instrument de conformité et de normalisation ( on parlera d’ « effet mouton » ).

En conclusion, nous ne sommes donc jamais totalement libre. Mais ce qu’il faut retenir aussi, c’est que le groupe n’a pas que de l’influence sur nous, car nous aussi nous avons de l’influence sur les groupes que nous