L’intellectuel prône le summum de la culture avec son bagage livresque et ses multiples connaissances, c’est le cas du condamné à mort dans « le dernier jour d’un condamné », ce jeune homme au gout raffiné en littérature mais qui ne comprend que dalle quand il s’agit d’argot. Cependant un intellectuel devrait-il se contenter de son bagage livresque, ou au contraire il doit être ouvert à la qualité médiocre de la culture que lui propose le monde extérieur ?
Dans notre société, l’intellectuel est phénoménalisé, et donne souvent l’impression d’être en marge de la société, il suffit d’ouvrir un roman dans un bus ou un autre lieu publique pour avoir droit à des regards inquisiteurs, des ricanements, voir même des commentaires se feront entendre. C’est la raison pour laquelle, un intellectuel ne doit pas se suffire de sa culture livresque mais doit s’ouvrir sur le monde extérieur. D’abord pour éviter les regards inquisiteurs de la société, en outre, ceci lui apportera un amas de culture général quand il aura diversifié ses activités culturelles, à savoir le cinéma les expositions etc.. Il enrichira ses connaissances et découvrira les diverses façades de la vie, loin de celles qu’il a l’habitude de lire dans les livres.
En revanche, le savoir acquis à travers la lecture est considéré le meilleur, il est vrai que nos références culturelles changent mais le livre demeurera le meilleur ami de l’homme, une bonne lecture vous fera oublier tous les maux, vous fera enrichir, et donnera plus de profondeur à la connaissance que n’importe quel autre moyen