L’interactionnisme

Ensemble des attitudes des individus adopté afin d’ajuster leurs actions sur celles des autres. C’est une méthode qualitative. Elle a été fondé dans les années 50-60, c’est la seconde école de Chicago. (Goffman, Becker, Strauss).Elle va se développée en France dans les années 80 avec un sociologue qui est Isaac Joseph qui va reprendre leurs théories. On a faire à un courant de pensée qui s’oppose à la sociologie holiste qui considère que la fit social est extérieur à l’individu. Les méthodes sont l’observation participante, l’immersion… Ils se démarquent des fonctionnalistes, ils s’opposent à l’objectivisme du fonctionnalisme. Le social n’est pas une chose extérieure à l’individu, il est construit par les interactions. On étudie les choses concrètes et le sens qui résulte de ces interactions. Un nouveau programme de recherche né. Le terme interactionnisme symbolique vient de Blumer, c’est in psycho-sociologue, il était élève de Park et les élèves de Blumer étaient Goffman, Becker, Strauss. Blumer prône la recherche de terrain, reprend les méthodes de Chicago et sa théorie est que les individus sont conditionnés par la signification qui donnent aux choses qui les entourent, c’est le sens qu’on donne aux situations qu’on vit, par conséquent la vie sociale est régit par des logiques intentionnelles. Ce qui va intéresser Goffman est comment se déroule une interaction, ce qui fait sens ce n’est pas le but de l’interaction mais comment chacun fait tout pour que l’interaction se passe bien. L’interactionnisme s’inspire de la philosophie pragmatique, Mead était un contemporain de Park mais aussi un élève de Blumer, il nous parle de la socialisation de l’individu et nous dit que l’individu se socialise par les échanges verbaux et en imitant les langages de sa communauté ensuite l’individu va intérioriser les normes par les échanges verbaux. Il nous dit que ces échanges font évoluer la société. L’individu se construit par la communication c’est