L'interdiction de la fessée est une aberration
De nos jours, l’autorité parentale fait défaut dans l’éducation des enfants de notre société occidentale. De moins en moins de parents ou même professeurs osent intervenir dans le comportement des enfants ou des adolescents malgré l’importance de cette responsabilité qui leur appartient. Le châtiment corporel est interdit par la loi dans certains pays comme la Suède, la Finlande, l’Allemagne ou les Pays-Bas. La tendance actuelle ne se rejoint pas complètement à cette idée de bannir la fessée. En effet, Dany de Baeremaker, psychologue spécialisé dans l’éducation des enfants difficiles, nous encourage à appliquer la fessée sans tomber dans la maltraitance. Nous pouvons tout d’abord donner la signification de la fessée pour en désigner la limite et en connaitre les aspects négatifs et positifs.
La fessée est un coup donné sur les fesses d’un enfant pour le sanctionner de son comportement négligeable. Elle existe depuis la nuit des temps car l’enfant, inconscient de ses actes, a besoin de certain recadrement nécessaire pour comprendre ce qui est autorisé ou non. Cependant, il y a une limite de violence à ne pas franchir pour que cela reste une fessée dite ‘éducative’ et que ça ne devienne pas de la maltraitance.
La fessée éducative ne consiste pas en une éducation rigoureuse mais plutôt à un dernier recours lorsque les paroles et la tendresse ne suffisent plus pour calmer l’enfant ou lui faire comprendre ses erreurs. L’encadrement est nécessaire à l’éducation qui est une lourde responsabilité et qui ne concerne pas seulement l’enrichissement intellectuel mais également à un savoir-vivre dans la société. La communication est tout de même à mettre en priorité avant la fessée éducative.
C’est pourquoi interdire la fessée peut être un frein à l’éducation des enfants. En effet, nous constatons que sans punition, les enfants deviennent