L’irrigation :

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Sommaire :

Introduction.

Les équipements de base.

Les différents types d’irrigation.

Bibliographie.

Introduction.

Le rôle :

L’irrigation doit apporter une quantité d’eau égale à la différence entre les besoins et la somme des réserves du sol et de la pluviométrie moyenne.

Les disponibilités en eau :

C’est la première chose à évaluer sérieusement avant tout projet d’installation. L’eau peut se procurer à quatre origines différentes :

Les réseaux collectifs : c’est la solution idéale, puisque le réseau est établi par une compagnie d’aménagement. L’irrigant dispose d’un certain nombre de bouches munies d’un compteur sur lesquelles il lui suffit de brancher son propre réseau.

Les forages : Cette possibilité n’est effectuée que si l’agriculteur est certain de trouver une nappe phréatique importante et à faible profondeur.

Les rivières : Autrefois beaucoup utilisée, cette technique est très simple mais pas toujours possible. Il faut être riverain et obtenr une autorisation préfectorale.

La retenue collinaire : Ces lacs collinaires peuvent recueillir l’eau provenant de ruissellement naturel ou constituer une réserve tampon alimentée par pompage continu dans les périodes où l’eau est abondante.

Les équipements de base.

La pompe :

C’est généralement une pompe du type centrifuge. Elle répond à deux caractéristiques principales :

Le débit : qui doit correspondre au débit total de tous les arroseurs (en m³/h) La hauteur manométrique totale : c’est la somme de : la hauteur géométrique d’aspiration, la hauteur géométrique de refoulement, la pression de fonctionnement des arroseurs et des pertes en charges dans les canalisations et autres