L'olive
Que raconte ce texte ?
Nouvelle aurore = nymphe. Il se situe le matin et même la nuit. Référence à la mythologie : cavernes profondes rochers dangereux. 1° quatrain=nuit
Montrez la grande simplicité de construction du sonnet : Deux quatrains : marquent la fuite de la nuit et l’arrivée du jour. Construits de la même façon : déjà. Imparfait qui marque la durée. On attend quelque chose qui va se passer. Deux tercets : apparition. Passé simple qui marque la surprise et une apparition qui va capter l’apparition du poète et du lecteur. Chaque quatrain a une dominante : une couleur. Le 1er : le noir + qques lumières qui scintillent. Noir = nuit = cavernes profondes = chevaux. Le 2nd : blond et nacré + or. Beauté de princesse : soignée mais pas naturelle // beauté de cour nymphe qui, elle, a une beauté naturelle, immodérée + vitalité. Le 3ème : le vert // nature.
Construction très simple qui s’accorde avec l’idée générale. La nymphe attire les regards à la fois du poète et du lecteur. Deux quatrains et deux tercets qui présentent l’apparition.
Relevé des métaphores du texte : Tout est personnifié. « un grand troupeau d’étoiles vagabondes » métaphore : les étoiles sont associées à des animaux. Amas d’étoiles + nymphe comme une étoile = renforcement de l’idée de lumière. 2ème quatrain : métaphore filée. Tout s’enchaîne et concorde. Vers 12 : cette nouvelle aurore : jeune fille qui vient d’arriver et qui fait de l’ombre. L’auteur emploie ces métaphores pour créer un véritable tableau : les figures de style sont imagées.
Etude des rythmes et des sonorités du texte : Deux quatrains à l’imparfait duratif // rythme lent. La longueur des rimes : « assait », « issait ». Donne une impression de grandeur. Parallélisme syntaxique donne une idée de lenteur. (+division du décasyllabe) Deux tercets : asymétrie. Tercet 1=rupture.