L'école des femmes
Il lui dit aussi que la femme est soumise aux hommes, qu’elle doit se « plier » aux règles du marie car c’est lui qui a tout pouvoir sur elle surtout qu’elle n’est qu’une paysanne qu’il a sortie de la pauvreté :
« Votre sexe n’est là que pour la dépendance » ;
« Bien qu’on soit deux moitiés de la société,
Ces deux moitiés pourtant n’ont point d’égalité » ; « L’une est moitiés suprême et l’autre subalterne ;
L’une est toute est soumise à l’autre qui gouverne ; Et ce que le soldat, dans son devoir instruit, Montre d’obéissance au chef qui le conduit, Le valet à son maître, un enfant à son père, À son supérieur le moindre petit frère » ;
« Et du profond respect où la femme doit être Pour son mari, son chef, son seigneur et son maître ». Il lui fait comprendre qu’il il y a des règles de tous les jours qu’il faut qu’elle respecte: « Lorsqu’il jette sur elle un regard sérieux, Son devoir aussitôt est de baisser les yeux
Et de n’oser jamais le regarder en face ». Il lui dit aussi de ne pas faire comme toutes les femmes qu’il y avais en cette époque (elles n’écoutaient plus leurs maris) : « mais ne vous gâtez pas sur l’exemple d’autrui. Gardez_vous d’imiter ces coquettes vilaines »
. Car sinon elle va finir en enfer :
« Et qu’il est aux enfer des chaudières bouillantes
Où l’on plonge à jamais les femmes mal vivantes.