Partie I : L’ANALYSE économique
Chapitre I : L’économie classique
Le courant de pensée dominant au 18ème siècle est le libéralisme.
L’Europe occidentale connait des modifications mentales, techniques et institutionnelles. L’influence du libéralisme s’inscrit dans le courant philosophique de l’époque (exemple : naissance de la manufacture).

Niveau mental -> individualisme
Eco classique : Adam Smith, Ricardo
Smith dit : chacun améliorerait son sort s’il y avait une meilleure organisation économique. Il est hostile à l’intervention de l’Etat.
Eco classique : Say
« L’offre crée sa propre demande » En effet, toute production d’un bien offert sur le marché donne lieu à une distribution de revenu que les titulaires vont utiliser intégralement pour demander des biens qui ont la même valeur.

Il en déduit que les crises de surproduction sont impossibles et pense que l’intervention de l’Etat n’est pas nécessaire.

A. Le comportement microéconomique

C’est le domaine de l’analyse économique qui se situe au niveau du comportement individuel des ménages et des entreprises (agents économiques). Ces 2 catégories sont homogènes.

Comment le consommateur maximise sa satisfaction compte tenu de son revenu et des produits qu’il peut acheter ?
Comment une entreprise procède à ses choix d’investissements ?

C’est un domaine qui repose sur la rationalité du consommateur (calcul mathématique).
Théorie néo-classique: Elle apparaît à la fin du XIXème, elle renouvelle la pensée classique avec Walras et Menger (autrichien)

Théoriciens néo classiques ou marginalistes.

Théorie : L’individu rationnel est supposé rechercher le maximum de satisfaction. En économie, on appelle ça de l’utilité. Maximiser l’utilité, c’est maximiser la satisfaction que l’on obtient de nos biens.

L’individu raisonne et calcule afin d’atteindre le mieux possible un objectif compte tenu des contraintes auxquelles il doit faire face (contraintes de ressources). La consommation est