L'écumé

919 mots 4 pages
Le courant de l’existentialisme a débuté au XXe siècle. Celui-ci s’intéresse au questionnement sur l’existentialisme de l’être humain et de l’absurdité de la vie. C’est ainsi que Boris Vian, dans son roman L’Écumé des jours, fait une réflexion sur ces deux aspects en présentant l’absurdité de la vie humaine. [SA] À cet égard, l’extrait de L’Écumé des jours publié en 1917, démontre que ce ci constitue une critique du monde industrielle. [SP] Or, au cours de celui-ci, l’extrait prouve d’abord que c’est un milieu dangereux pour l’humain. Ensuite, le milieu de travail fait perd tout caractère humain et enfin, l’absurdité dans le monde du travail. [SD]
Tout d’abord, il est vrai de dire que l’extrait montré dans L’Écumé des jours est une critique par rapport au monde industriel parce que ceci présente un danger à la vie humain. [S+IP] De ce fait, ses critiques montrent que les machines de l’industrie constituent un risque et un manque de sécurité pour les ouvriers [IS ] : « En bas, devant chaque machine trapue, un homme se débattait, luttant pour ne pas être déchiqueté par les engrenages avides» (l.4043). La reprise du verbe «débattait, luttant » permet de comprendre qu’il y a une amplification et ce champ lexical sous-entend son combat pour sa survie. Puis, ce qui ajoute à cet danger sont les blessures extrêmes : « Leur jambe droite replié formait un angle bizarre […] et leurs quatre mains droites étaient sectionnées au pognait. « (l.4080). Ceux-ci cause des accidents qui amène fin à leur vie.[II] De plus, l’environnement de l’industrie n’est pas sécuritaire. [IS₂] Comme quand l’ingénieur Chick entre dans son usine : « Comme d’habitude, […] une bouffé de vapeur et de fumée noire le frappa violemment à la face. » La qualité de l’air est néfaste pour la santé des travailleurs et, de cette façon, rend l’environnement industriel dangereux. Cependant, il est possible d’affirmer que l’œuvre décrit que c’est un milieu médiocre avec les termes suivants : « arraché »,

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