Introduction
Le système d'éducation d'un pays est souvent au centre des débats politiques et sociaux et il est souvent difficile de voir et d'établir les liens entre les intérêts de divers groupes et la réalité des choses. Dans le travail suivant, nous nous intéressons a deux analyses qui abordent le sujet. La première est faite par Réjean Breton, professeur de droit du travail à l'université Laval et la deuxième est rédigée par une équipe composée de Clermont Gauthier qui est aussi un professeur à l'université Laval, Danielle Raymond qui est professeure à l'université de Sherbrooke et la responsable de la formation initiale du personnel enseignant au Québec, Marielle Anne Martinet.
En étudiant les deux ouvrages ci-haut mentionnés, nous tenterons de répondre aux questions suivantes: le système d'éducation au Québec, devient-il moins efficace en raison des syndicats? Devrait-on remplacer le modèle d'ancienneté par un modèle basé sur les compétences et le mérite ? Existe-t-il des politiques en matière de gestion de ressources humaines que nous devrions modifier? Pourquoi et Comment?

L'hypothèse que nous retenons est la suivante: nos auteurs présenterons des analyses qui tiennent compte de l'historique des relations de travail dans le secteur de l'éducation québécois, de la dynamique sociale et de la réalité démographique et culturelle de notre société aujourd'hui. Ils présenteront des solutions claires et précises aux difficultés soulevés. Notre travail fera référence a plusieurs concepts[1] clés dont les suivants: l'État, le secteur public, le secteur privé, les relations de travail, un syndicat, le pouvoir, l'ancienneté et la permanence.
La recherche se limitera à comparer et conceptualiser les idées de nos auteurs, il s'agit essentiellement d'un raisonnement abductif en nous basant sur les concepts et les notions de plusieurs livres et travaux afin de ressortir une critique et d'aboutir a des nouvelles hypothèses.Quatre parties occuperont l'essentiel de