L'étranger albert camus

1023 mots 5 pages
Albert Camus est un écrivain français du XXe siècle, né en Algérie, appartenant au courant littéraire et philosophique de l’existentialisme. Il reçut, en 1957 le prix Nobel de littérature pour son livre « L’Etranger » duquel est tiré l’extrait que nous étudions.
La première partie de l’œuvre suit la vie du jeune employé Meursault, à Alger. À la fin de la première partie, il tut sans préméditation et sans raison apparente un arabe avec lequel Raymond, son ami avait des soucis. La deuxième partie suit son jugement jusqu’à sa condamnation.
L’extrait étudié est un passage de son jugement se situant dans la deuxième partie du livre. Notre problématique sera « Meursault a t-il était condamné pour son crime ou pour son âme ? »
La première partie portera sur la satyre de la justice, la deuxième sur l’indifférence totale exprimé par l’accusé lors de son propre procès.

Les propos de l’avocat général transcrit par Meursault tel que « il disait qu’à la vérité, je n’en avait point d’âme » « le vide du cœur tel qu’on le découvre chez cet homme devient un gouffre où la société peut succomber »laisse à penser que le procureur reproche plus à l’accusé son manque d’apitoiement, son manque de réaction à Meursault que son crime, lui-même. Cette idée est en quelque sorte renforcée par le fait que l’avocat général est plus horrifié par cette indifférence que par le crime d’un père. Elle est même confirmée lorsque le héros annonce que l’avocat a été plus long pour parler de son attitude envers sa mère, le fait qu’il est bu et mangé durant la veillée et qu’il est commencé une liaison amoureuse dés le lendemain, que pour parler de son crime.

Le lendemain du procès de Meursault, un homme va être jugé pour avoir tué son père, procès n’ayant d’ailleurs aucun rapport avec celui de Meursault, en effet Meursault, lui, ne connaissait que très peu sa victime. Pourtant l’avocat pense qu’un homme ayant moralement tué sa mère se retranchait de la société des hommes au même titre que

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