L'étranger de camus
L’étranger
(1942)
Introduction :
Camus est un écrivain qui a réfléchis à la notion de « l’absurde ».L’absurde d’inscrit dans un contexte général de crise de la pensée européen au 20éme siècle. Après la Première Guerre Mondiale on a eu l’impression que le monde s’est retourné vers l’absurde.
Donc l’absurde ≠ la logique, rien n’est logique dans ce Monde sans Dieu.
L’absurde : Moment de crise du genre romanesque. Les romanciers du 20éme siècle remettent en cause les stéréotypes « principes de l’écriture » des romanciers réalistes du 19éme siècles.
« L’étranger : » (1er sens : au sens courant, quelqu’un qui n’est pas du même pays. (2ème sens : Etrange au sens d’étrange, bizzare. ( 3ème sens : l’étymologiquement, quelqu’un qui reste étranger à lui-même. Ou extra-muros : A l'extérieur de la ville, à l'extérieur des murs.
Présentation du passage :
Scène attendus dans le roman, déclaration d’amour, mais prend une forme inattendu, surprenante car tout d’abord elle vient de la femme : Marie.
Problématique :
Meursault est un être à priori misérable, mais s’avère être un grand philosophe.
I. Un anti-héro:
A) La passivité de Meursault :
Tout d’abord Meursault est passif, car la demande en mariage vient de Marie et non pas de lui ( « Le soir Marie est venue me chercher et m’a demandé si je voulais me marier avec elle » (L.1) Avec ensuite une réponse lapidaire : « J’ai dit que ça m’était égal » (L.2).Tout d’abord le ton avec le quel il parle montre qu’il est passif et que ce n’est pas une grande chose, contrairement à Marie. Ensuite le silence joue un rôle important : « Elle m’a regardé en silence »(L.9)
B) Insensibilité:
Il est insensible :
( « Je ne pouvais rien savoir sur ce point »(L.12)
( « Naturellement » (L.12)
( »Cela m’ét ait égale » (L.2)
Il y’a aussi l’utilisation du discours indirecte qui supprime toutes les marques de motivation ainsi que la ponctuation :