L'étranger
Tout d’abord, l’indifférence est très bien présente dans la première partie du roman l’étranger. Meursault, le personnage principal demeure indifférent à tout ce qu’il l’entour. Tout est centré sur lui-même. Rien ne lui importe vraiment. Il est étranger à la société ou il vit. Par exemple, sa mère meurt et il réagit à cet évènement sans réelle émotions. Quelqu’un lui demande l’âge de sa mère et il n’en a aucune idée. Le lendemain, la mort de sa mère est déjà oublier et il va voir un film de Fernandel avec Marie Cadonna. Il ne prend pas le temps de penser à ces actions et lorsque quelqu’un lui demande quelque chose, il accepte sans la moindre réflexion. Lorsqu’une personne lui pose une question, il ne fait que répondre ca m’est égal ce qui démontre bien son coté foutaise. Marie le demande en mariage et il refuse même si pourtant il n’éprouve aucun sentiment pour elle. A la fin de la première partie, il tue un homme mais il ne s’est pourtant pas pourquoi il l’a fait. Meursault est coupable de ne pas se sentir coupable.
Deuxièmement, tout au long du Roman, l’auteur aborde le thème du positivisme. Meursault reste une personne positive du début à la fin. Peu importe ce qui lui arrive, il continue sa vie sans aucune préoccupation. Il laisse ses problèmes