L'étranger
On peut bien remarquer qu’il ne perd jamais sa capacité de s’organiser la vie selon des projets bien précises.
Arrivée à l’asile, on lui demande s’il veut voir la dépouille de sa mère, mais il répond que pas. La soirée il participe à la vieille avec les vieux. Tous les hôtes de l’asile étaient tristes et mélancoliques, mais Mersault fume et observe très attentivement les personnes qui l’entourent, ayant la bizarre impression qu’ils sont là pour lui juger. En outre, Mersault s’endormit. Le jour suivant, il va se promener à la campagne et il sent le plaisir duquel il jouait s’il n’avait les funérailles. Pendant la marche, Mersault remarque un vieil vraiment mélancolique ; on lui dit qu’il s’appelle Thomas Pérez et qu’il était vraiment lié à sa mère. En effet, à cause de la douleur, il s’évanouit, mais Mersault n’éprouve point de tendresse pour lui. A la fin des funérailles, il est bien content de tourner chez lui : il a assisté à l’enterrement de sa mère sans déverser même pas une larme et sans feindre une douleur qu’il ne prouvait pas seulement pour faire plaisir à l’opinion commune. A son réveil , le samedi, Meursault essaye de comprendre le mécontentement de son patron : deux jours de congé pour l'enterrement de sa mère , puis les deux jours de week-end, cela fait quatre jours d'absence. Il se justifie, en disant que cela n’avait pas été sa