L'île des esclaves
-Bonjour mon cher monsieur,
-Bonjour jeune homme, que voulez –vous me dire ?
Je veux vous parlez de votre pièce et de son soi-disant côté comique
Je ne comprends pas ce que vous dites, c'est-à-dire, expliquez moi
Vous parlez de comique pour parler de votre pièce mais en aucun cas quand j’ai pu la lire je n’ai pas trouvé ça très drôle, cela remet juste en question la société
(Surpris avec un peu de colère) Excusez-moi mais ma pièce est là pour instruire c’est certain mais aussi pour plaire. Je ne comprends pas une telle insulte à mon égard, j’ai mis temps de mal à produire cet effet de lecture agréable et drôle que je ne puis entendre cela.
Vous rigolez j’espère, cela n’a pas du être trop dure pour vous vu la pièce que vous nous offrez et son amusement.
Vous m’agacez, vous allez voir si ma pièce n’est pas comique, vous insultez mon travail et je ne peux tolérez ça. Vous voulez que je vous montre si ma pièce n’est pas comique, regardez moi ça un peu !
Allez-y je n’attends que ça mon cher monsieur.
Tout d’abord, je vais vous dire que le comique de situation, c’est-à-dire que l’effet comique est produit par la situation d’un personnage dans l’histoire qui est racontée, est très présent dans ma pièce.
Détaillez-moi plus cela car si c’est un argument cela ne me fait pas changer d’avis.
Que vous pouvez être arrogant, regardez à la scène 3, précédemment nous savons que deux couples maîtres et valets se sont échoués sur une île et que la loi de cette île est d’échanger les rôles. Les maîtres, Iphicrate et Euphrosine, doivent prendre la place de leurs domestiques, Arlequin et Cléanthis. Dans cette scène On peut voir que Cléanthis s’amuse de cette situation alors que Euphrosine n’est pas très