l'abstentionisme
« Voter est un droit, c’est aussi un devoir civique ». Tels sont les mots inscrits sur la carte électorale française, que tout citoyen pourrait ou devrait avoir en sa possession. Le vote est l’expression d’un choix, d’une idée. Or, aujourd’hui, on assiste à un phénomène croissant de non-participation électorale : le phénomène dit d’abstentionnisme électoral. En effet depuis les années 1980 on observe un nombre croissant d'abstentionnisme. Ce taux d’abstentionnisme est passé d’à peine 10 % en 1980, à un peu plus de 15% aujourd’hui, toutes élections confondues.
L’accroissement régulier du nombre de personnes qui s’abstient à chacune des différentes élections ne constitue-t-il pas un indice d’une imperfection du système électoral ? Ce constat n’est-il pas l’indicateur d’un problème de légitimité du pouvoir ? La réponse serait très certainement affirmative si l’on associait cette réflexion, à l’augmentation croissante de l’abstentionnisme. Néanmoins il est important de répondre à ces questions avant d’en tirer une conclusion.
Dans un premier temps, nous verrons l’article du code électoral qui est associé au vote blanc et nul accompagné d’une définition d’abstentionnisme ce qui nous amènera à comprendre mieux le terme d’abstentionnisme et surtout de savoir ce que les lois peuvent faire contre l’abstentionnisme ou tout simplement ce que la lois a mis en place. Ensuite, nous étudierons les causes de l’abstentionnisme et les personnes qui s’abstiennent, le fait de s’intéresser aux causes et aux personnes qui s’abstiennent dans une seconde partie nous aidera à mieux comprendre les raisons de l’abstentionnisme et quelle classe sociale en est la victime ce qui détaillera un peu la première partie qui est l’élaboration du code électoral qui est simplement une définition peu détaillé. En conclusion de cette seconde partie nous regarderons l'évolution de l'abstentionnisme au cours de ces dernières années à travers des graphiques. Ce qui nous amènera pour