Ces approvisionnements sont nettement inférieurs à la capacité de traitement qu’a connu la ville d’Essaouira dans le passé.
Selon la chambre de commerce et de l’industrie, les 3 unités industrielles ouvertes dans la ville ont une capacité de production de 750.000 caisses ou cartons (de 100 boites) , soit 21.000 tonnes de poissons de conserve, elles ont également, une capacité de traitement de sous-produits de 37.500 tonnes. Cette capacité n’est pas atteinte actuellement en raison des problèmes très aigus que connait l’approvisionnement en poissons ces dernières années.
Industrie chimique et para chimique : ce secteur concerne principalement la production de sac d’emballage de ciment, le travail du bois de thuya et l’imprimerie. II emploie 40 à 60 personnes.
Textile et cuire : il s’agit principalement d’unités de confection et de transformation du cuir (tannerie). Ce secteur se développe lentement en raison de l’existence d’un secteur artisanal qui n’a pas évolué au niveau industriel.
Industries mécaniques, électriques et électroniques : ce secteur présente une faible importance, il porte principalement sur les activités de réparation et de construction de petits bateaux et barques de pêches.
La pêche
Dans les eaux d’Essaouira le poisson le plus commun est le thon, son mode de pêche normal et à la canne mais il peut aussi être à le harpon.
Les espèces qui peuvent se pêcher de forme traditionnelle sont la sargue, le loup, le mulet, et les dorades entre autres.
La pêche sous-marine avec harpon prés des cotes ou en haute mer peut fonctionner avec les thons, l’espadon, le colin, le mérou, barracudas, les autorités touristiques locales facilitent le processus d’obtention de permis pour ce genre de pêche dans les eaux d’Essaouira, les rendements de la pêche pratiquée sont peu élevés à cause de l’obsolescence des navires (manque de sonar, d’engins de relevage des filets ou power blocks et débarquement du poisson en caisse de bois ou en vrac) des programmes