L ironie dans le texte
Le week-end dernier, c'était le premier jour du printemps, le ciel était bleu comme la mer méditerranée, la température chaude, mais, c'était surtout le mariage de mon oncle et de ma tante. Je ne les avais pas vu depuis longtemps car ils habitaient sur le vieux continent Africain au Sénégal dans la ville de Dakar. Depuis déjà cinq ans je n'avais pas eu l'occasion de les voir, cela faisait tellement longtemps que j'ai même eu du mal à les reconnaitre.
Pour cette union étaient invités près de mille personnes parmi eux les amis, les collègues et la famille, plus ou moins proches des jeunes mariés.
Si je vous parle de ce mariage c'est parce que je m'en souviendrais toute ma vie, surtout à la fin du repas, plus précisément au moment du dessert. J'étais tranquillement assise sur ma chaise argentée à l'allure d'un trône, lorsque j'ai vu une gigantesque pièce montée se diriger vers la table des mariés, elle était porté sur une planche en bois par les épaules de quatre servantes comme à l'époque où les rois était soulever de leurs sièges.
Elle était immense, disposé au centre de la table de façon à ce que tous les convives puisent la dévorer du regard, elle était aussi grande que moi, et dieu sais que je suis grande. On aurait dit une œuvre d'art.
Le premier étage était très large. Il était blanc de glace à la vanille et un lac en