L’homme qui rit
Gwynplaine s’exprime à l’impératif, il cite : « silence », « écouter », « méditer » ; « tenez ». Il veut capter l’attention de tous les gens présent. Il veut surprendre. Ses phrases sont l’appel à chacun de leur conscience, il cite : « si vous saviez ce qui ce passe aucun de vous n’oserait être heureux ». Il essaye de faire prendre conscience sur la misère du peuple. Dans son discours, on peut noter la répétition du verbe « savoir ». Il cite : « si vous saviez.. » ; « savez-vous ? » il révèle l’ignorance de son oratoire. Le discours révèle notamment des phrases exclamatives. Il emploi : « savez-vous cela ? » ; »qui est à Newcastle-on-Tyne ? » ; »Savez-vous ce que les pêcheurs hareng de Harlech mangent de l’herbe ? ». Il veut vraiment impliquer son publique et s’adresse directement à eux. Il devient urgent et veut capter et surprendre et leur faire prendre conscience de cette misère qu’ils ne connaissent pas. Son discours est convaincant. Ces phrases sont remplies de champs lexicaux sur la faiblesse. Il emploie : « un homme enchainé et nu avec des pierres sur le ventre » ; «expirer dans la torture » ; « des lépreux traqués… » ; « on creuse des trous dans la terre pour y coucher. ». Il met en scène la faiblesse. Il veut les toucher et par la faiblesse et la misère. Son art oratoire est penché sur la sensibilité, il veut toucher surprendre pour capter l’attention du