L’idée européenne dans l’europe occidentale de l’entre-deux guerres
L’Histoire de l’idée européenne dans l’entre 2 Guerres est une idée qui certes change de locuteur mais qui ne reste qu’une idée. Coeur du sujet : période 25/35
De 20 à 25, mise en place de la sécurité collective.
De 30 à 35, 2 Europes s’opposent désormais. L’unité Européenne est présentée comme un impératif économique, les économies sont devenues interdépendantes. De plus, il faut éviter à tout prix une Guerre civile Européenne. 3eme élément, les USA et le Japon sont de nouveaux acteurs économiques majeurs, et il faut lutter contre le déclin économique européen, accentué par la crise morale et spirituel qu’elle a connu. Une besoin d’unité, une hantise passée, et un besoin de retour à l’hégémonie.
Mais le crourant européen s’affirme à partir de 22. Il a une dimension idéologique voire mystique. Le mouvement Paneurope va accompagner les initiatives de Briand notamment. La dimension pragmatique de l’Europe répond à des besoins et des intérêts du moment. La première Union est une union douanière prise à l’initiative des milieux économiques. Le point de lancement de ce concept européen est marqué par les accords le Locarnau et par le discours de Briand qui appelle à la formation des Etats Unis d’Europe.
Néanmoins l’idée européenne est un échec, et on peut l’imputer à une stratégie qui n’est soutenue que par les élites, dont les masses restent très éloignées. Son projet organisationnel est ambigu, la supranationalité fait face aux sentiments encore profondément nationalistes des dirigeants européens. L’echec de l’idée Européenne est également du à un contexte défavorable, les communistes ne voulant pas d’idée européenne qui voient en elle un groupement d’Etats capitalistes. Elle s’oppose à la logique colonialiste, mais s’oppose également à la logique nationaliste qui va à l’encontre des politiques protectionnistes en vigueur à