L’impact de la vitesse de réaction des médicaments au quotidien
Dans notre société actuelle, il n’est pas rare d’avoir recours à certains médicaments que se soient des aspirines pour les maux de tête ou encore pour les douleurs au dos. Quoiqu’il en soit, lorsqu’on inhale ces médicaments, il se produit un long fonctionnement dans notre corps qui réagit plus ou moins vite selon les caractéristiques de la personne. Aussi, les médicaments peuvent touché l’aspect éthique et l’aspect économique. C’est ce que nous allons découvrir dans le texte suivant.
Parlons premièrement du fonctionnement de la prise du médicament. Lorsqu’une personne a mal quelque part, elle ne va pas immédiatement sentir cette douleur. En fait, les cellules qui sont touchées ne réussissent pas à envoyer le message de douleur jusqu’au cerveau, mais l’acide arachidonique va réagir avec les enzymes du corps ce qui formera une hormone (prostaglandine). Grâce à ce type d’hormone, les terminaisons nerveuses deviennent très sensibles et le cerveau peut recevoir le message de douleur et donc, la personne va prendre un médicament afin d’y remédier. Suite à la prise du médicament, celui-ci va en direction de l’estomac qui va être absorbé finalement par le sang afin de viser les cellules provocatrices de la douleur et donc, empêche la synthèse de la prostaglandine et la douleur n’est plus/moins perçue par le cerveau.
Pour poursuivre, parlons de l’efficacité du médicament inhalé en parlant des facteurs qui peuvent modifier la vitesse de réaction du médicament. Lorsqu’une personne doit prendre un médicament, qu’il soit prescrit par le médecin ou non, il y a toujours une fréquence et une quantité à respecter sur l’emballage. Des facteurs peuvent influencer la vitesse de réaction du médicament, tel que la grandeur, le poids, l’âge et la prise d’autres médicaments. Donc, plus une personne est petite de grandeur, de grosseur, que celle-ci est très jeune/très vielle ou encore que celle-ci a pris