L’état est il l'ennemi de la liberté ?
L’État est il l'ennemi de la liberté ? Cette question mêle à la fois la notion d’État et de liberté en les opposants avec le terme « ennemi » c'est à dire hostile. Un État peut être définie comme l'ensemble des structures ( législative, exécutive, judiciaire ) du pouvoir politique chargées d'organiser une société et incarnant la souveraineté. L’État est le fondement de toute les grandes sociétés. La liberté, notion difficile à résumer semble cependant se définir par opposition à l'idée de « contrainte » et de « servitude ».
Jean Jacques Rousseau dans De l’État civil chapitre VIII livre I Du contrat social différencie la liberté en deux ; la liberté naturelle, qui est un « droit illimité à tout ce qui le tente et qui peut atteindre » la liberté civil qui est une autonomie, une obéissance à la loi que l'on a participé à élaborer et qui serai lié à la liberté morale « qui seul rend l'homme vraiment maître de lui. »
Faut il donc pour être libre ne pas être soumis au lois ou bien peut on penser une liberté consistant à obéir aux lois ? Si l’on suis la philosophie de Rousseau, il est donc clair que l’État est à la fois un ennemie de la liberté et son garant.
En un sens l’État est l'ennemi de la liberté naturelle et en un autre le garant de la liberté civile. L’État est une institution politique qui a créé avec ses citoyens plusieurs lois et qui sont reconnues comme justes. Celles-ci nous garantissent, comme l’État Français par exemple, l'égalité, la fraternité et la liberté. Cette liberté garantit, Rousseau l'appellerai ,comme d'autre, la liberté civile (dont nous développerons plus en détail la définition). Ces lois contraignent donc la « liberté naturelle », qui serai la liberté de réalisé tout ces désirs c'est à dire un besoin conscient mais pas nécessaire, du moment que l'on en a la capacité. L'Homme qui désirerai voler ou tuer autrui, (c'est à dire à la fois autre que lui mais pareil que lui,) se voit