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I. L’introduction
L’introduction est un paragraphe d’un seul bloc qui comprend trois temps.
1. L’amorce
Elle peut évoquer l’auteur, son œuvre, le mouvement littéraire auquel il peut être lié. Si l’on ne dispose pas de ces informations, on peut s’appuyer sur l’objet d’étude travaillé pendant l’année. Elle introduit le nom de l’auteur et de l’œuvre.
2. La présentation du texte
Elle doit présenter les principaux caractères du texte –est-ce une description, un dialogue ? combien de personnages sont évoqués ? etc. – et introduire le « problème » qui orientera le commentaire : la problématique.
3. L’annonce du plan
Le lecteur doit comprendre clairement comment le commentaire est organisé. On a souvent intérêt à consacrer une phrase à chaque annonce de partie (ou axe). Il faudra respecter ce plan dans le développement.
II. Le développement
1. Les parties du commentaire
Chaque partie commence par la formulation de l’idée directrice de la partie. Chaque partie se termine par le rappel de l’idée directrice. On essaie de varier les formules pour éviter la lourdeur des répétitions.
2. Les paragraphes
Chaque partie comporte deux ou trois paragraphes (ou sous-parties). Chaque paragraphe justifie un aspect de l’idée directrice en se fondant sur l’analyse précise du texte.
Le lexique. On peut recourir aux termes techniques les plus courants de l’analyse littéraire (anaphore, personnification, champ lexical, type de phrase, temps verbal, registre tragique, etc.), ils ne sont pas si nombreux mais on ne doit pas s’y limiter : il faut chercher à expliquer le texte de la façon la plus précise, la plus claire, la plus vivante possible. Si on a oublié le mot « anaphore », le mot « répétition » fera l’affaire ; l’essentiel est de bien expliquer l’effet produit par cette répétition.
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Les citations. Judicieusement sélectionnées, car