M.Weber
Weber compare dans cette première partie la vocation scientifique et la vocation artistique. Ces 2 disciplines appellent aux même qualités : le travail, la spécialisation dans son domaine (l’artiste et le scientifique doivent tous deux se dédier intégralement au service de leur discipline), la passion. Le scientifique, à la différence de l’artiste est solidaire du progrès : ainsi tout œuvre scientifique « demande donc à être dépassée et à vieillir ». Une œuvre d’art ne peut être dépassée ni vieillir.
Weber, dans cette seconde partie explique que le domaine scientifique a des limites. En effet, « elle demande à être dépassé et à vieillir ». Depuis le XXème siècle, des réticences se font sentir vis-à-vis de la science comme ce que l’on peut voir dans le cadre du nucléaire ou des recherches dans le cadre de la génétique. Cela nous amène donc à voir différentes limites des sciences que peuvent être leur utilisation ou leur limites technologiques propres ou encore la recherche de La Vérité Scientifique.
On peut commencer dans le cadre de la technologie. Dans de nombreux cas, l’avancée vers de nouvelles perspectives scientifiques nécessite l’invention préalable de nouvelles machines, or, qu’arrivent-ils si l’on saute une étape ? En effet, on peut très bien s’imaginer que les hommes poussaient par leur soif de découverte veulent aller de plus en plus vers l’avant ou, comme dans le cas de la Tour de Babel, de plus en plus vers le haut sans avoir néanmoins de dieux les rappelant à l’ordre mais, leur