N'importe quoi.
Question 1:
Il y a des allitérations en ‘’f’’ et en ‘’r’’ dans la première tirade, ‘’fureur’’, ‘’feux’’, ’’refus’’, ’’faible’’ vers 1228 à 1230, ‘’horreur’’, ‘’remords’’, ‘’refus’’, ‘’injure’’, ‘’endure’’, vers 1228 à 1230. Ces allitérations valorisent la douleur qu’éprouve Phèdre, mais aussi la jalousie qu’elle ressent, sentiment le plus insupportable à vivre. 1225, on n’a deux exclamations qui s’enchaine et qui donnent l’impression que Phèdre vit un véritable cauchemar, ‘’Ah ! douleur non encore éprouvée !’’.
Question 2 :
Il y a une énumération pressante de questions rhétoriques qui mettent en valeur le besoin de comprendre cette tromperie. Elle se torture moralement grâce au scène qu’elle s’imagine entre Hippolyte et Aricie, comme par exemple elle les imaginent vivant leur amour dans la forêt se cachant d’elle. ‘’ Dans le font des forêts allaient-ils se cacher ?’’ Vers 1235. Phèdre devant cet amour naissant n’a qu’une envie : Mourir. ‘’ La mort est le seul Dieu que j’osais implorer’’ vers 1243.
Question 3 :
Il y a un renversement de culpabilité vers 1264 ‘’ Que fais-je ? Où ma raison se va-t-elle égarer ? ‘’ et le champ lexical devient celui du suicide, Phèdre s’adresse a elle-même en s’auto critiquant ‘’mon époux est vivant, et moi je brûle encore’’ elle s’en veux à mort d’être amoureuse d’Hippolyte. Elle se dit incestueuse.
Question 4 :
Le champ lexical de la lumière dans les deux tirades est ‘’ Soleil, jour, lumière, clairs’’ et le champ lexical de l’ombre est ‘’ nuit, enfers, ombre’’. L’ombre et la lumière est une opposition oral elle est liée à la culpabilité et l’innocence.
Question 5 :
Le vers ‘’ Ils ne se verront plus’’ déclenche chez Phèdre une réaction immédiate. Oenone permet à Phèdre d’exprimer ses sentiments. Oenone invite Phèdre à accepter l’amour illégitime d’Hippolyte et d’Aricie ‘’ Les dieux mêmes, les dieux, de l’Olympe habitants, Qui d’un bruit si terrible épouvantes les crimes, Ont brûlé quelque fois des feux