École des femmes
Les champs lexicaux qu’Agnès utilise lorsqu’elle parle de l’amoure démontre qu’elle perçoit cela comme un sentiment fort qui ne se contrôle pas, mais qui se ressent inconditionnellement. En effet lorsque Agrès discute de l’amoure avec Arnolphe, elle emploi spontanément ses termes : « Douceur, chatouille, d’une amoure sans seconde, mot gentil, émue, flattant, désire, rire, plaisante, rien ne peut égaler, joie, satisfaction, cœur…» (p.47 à 61). L’emploi de ses mots montre que pour elle, l’amoure est une douceur que l’on savoure chaque jour et croit que s’est la meilleur chose qui a pu lui arriver à ce jour. En lisant entre les lignes, il est facile de conclure que pour elle, l’amour ne peut être que positif. De plus, l’utilisation de ces mots pour d’écrire l’amour, nous indique que ce doit être la première fois qu’elle est amoureuse. Car elle fait preuve de beaucoup de naïveté et d’ignorance par rapport à ce sujet. De plus, affirme elle-même qu’elle ne savait encore point ces chose-là.(faire un rappel du thème et des 2 idée)
L’éducation des jeunes femmes au XVIIe siècle est reflétée dans la sotte personnalité d’Agrès. Leur éducation n’était pas vraiment importante, car elle était ‘’simplement des femmes’’. Le rôle de celles-ci à cette époque était de rester à la maison, de s’occuper des tâches ménagère ainsi que de réponde exclusivement aux besoins de son mari. En effet, dans cet extrait on illustre bien une semaine typique d’une femme à cette époque: « Arnolphe -465, agnès-466» (p.48-49) de cette citation il est clairement démontrer qu’Agnès ne sait pas faire autre chose que les tâches ménagères. Ses journées ne consiste qu’à