Économie

2660 mots 11 pages
12/10/12
Dans la philosophie grecque le commerce était condamné dès qu'il introduisait la monnaie. Au Moyen age le commerce est admis plus largement si il a une finalité utile (mettre à proximité des gens des biens produit loin) et si le gain issu du commerce est ce que l'on appelle n gain modéré dont la finalité est de permettre aux marchands de vivre lui et sa famille. Une réhabilitation morale du commerce.

Le travail, toute l'antiquité considéré que le travail était une activité déshonorante, dans la pensée religieuses on assiste à une réhabilitation du travail, on considère que c'est un élément nécessaire de la vie humaine, que l'absence de travail est considéré comme un mal a combattre et il y a l'idée qu'en travaillant on transforme la Terre en produisant des biens utiles aux autres et même aujourd'hui nous vivons sur ce schéma de travail qui occupe la majorité de la vie humaine.

La propriété, ici on voit l'influence d'Aristote, les penseurs du moyen age notamment Thomas d'Aquin défendent la propriété privée. St Thomas l'a défend avec les mêmes arguments d'Aristote, on gère bien ce qui nous appartient en propre (facteur d'ordre) parce qu'on subit les conséquences de sa gestion, la propriété est aussi un facteur de paix car on peut faire reconnaître ce qui est à l'un et ce qui est ai à l'autre. Ces arguments sont exclusivement des arguments de raison.

Cependant il y a une différence importante par rapport à la pensée grecque, si la religion reconnaît les droits de propriété elle met en avant les devoirs du propriétaire, le premier devoir c'est de faire fructifier sa propriété, ne pas la laisser à l'abandon. Son deuxième devoir est le devoir de partage vis-à-vis de ceux qui ne sont pas propriétaire et qui n'ont pas de revenus. Il pense à l'idée de redistribution sociale, c'est une redistribution privée, volontaire, ce n'est pas une obligation légale mais morale. On trouve ça dans le christianisme (charité), chez les musulmans (l’aumône « Le Zakat)

en relation

  • Économie
    3400 mots | 14 pages
  • Économie
    296 mots | 2 pages
  • Économie
    259 mots | 2 pages
  • Économie
    5934 mots | 24 pages
  • Économie
    508 mots | 3 pages
  • Économie
    888 mots | 4 pages
  • Économie
    1936 mots | 8 pages
  • Économie
    490 mots | 2 pages
  • Économie
    410 mots | 2 pages
  • Économie
    3373 mots | 14 pages
  • Économie
    1341 mots | 6 pages
  • Économie
    3880 mots | 16 pages
  • Économie
    3385 mots | 14 pages
  • Économie
    1650 mots | 7 pages
  • Économie
    699 mots | 3 pages