Épargne et crédit
Sujet : L’épargne et le crédit dans le financement de la croissance.
Ce qui détermine la croissance
Ce qui finance les facteurs de la croissance
En quoi le crédit permet-il de dépasser les limites propres à l’épargne ? Et en quoi ce dépassement est-il périlleux ?
Plan :
I- Un rôle de l’épargne privilégié dans une perspective libérale
A) Les profits d’aujourd’hui sont les investissements de demain
C’est à dire, l’épargne des entreprises d’aujourd’hui contribue à leurs investissements de demain.
Le pouvoir de l’offre : accroitre les marges profit légitime possibilité d’émettre des actions statut anonyme
Début du XIXème autofinancement des entreprises
B) La finance direct permet un ajustement entre l’offre et la demande de fonds prêtables
Walras (taux d’intérêt/prix d’équilibre) + Say
Risque d’effet d’éviction
II- Un dépassement possible des limites de l’épargne par le crédit
A) Une influence potentielle de risque de l’offre de monnaie dans la théorie keynésienne
Keynes : toute l’épargne n’est pas nécessairement investie fuite. Ce qui créer un déséquilibre en terme de demande.
Le crédit peut remédier à ça. Donc rôle de la banque.
Effet de levier
B) Le crédit peut dynamiser également la consommation et l’investissement des ménages
Le crédit à la consommation s’est développé avec la société de consommation.
Notion de demande effective
III- Mais des risques inhérents à un excès de crédit
A) Des risques inflationniste
Interprétation monétariste que Ricardo formulé déjà. (Relation M/P)
B) Des risques déflationnistes
Risque de retournement de l’effet de levier les banques ne veulent plus prêter crise de confiance/d’insolvabilité/ Liquidité. Fisher : la déflation par la dette.
Conclusion : Les avantages du crédit se retourne facilement. Il permet probablement d’accroître le niveau moyen de la croissance, car il permet de dépasser les limites de l’épargne. Mais en