Équarissage pour tous
L’histoire de Boris Vian a été suivie à la lettre par le réalisateur du cégep. On aura cru le texte exact sortir de chaque bouches des futures comédiens. Malheureusement, plusieurs aspects de la pièce ont vraiment déranger dans le déroulement du récit. Certains costumes étaient complètement illogique qui ne correspondaient pas à la période où le conte est vécu. Des salopettes lignées noir et blanc avec un chandail rouge et un calotte jaune comme habit de guerre est totalement loufoque. Des objets simples comme un canon portable, sont difficile à reconnaître. Un élément incompris comme tel, nous fait décrocher du dialogue en cour. Pourtant, il n’est pas exigeant de fabriquer des objets, qui sont important pour la pièce, de façon que le peuple le reconnaisse par sa silhouette. La mise en scène est plutôt bien pour des étudiants. Les mouvements étaient cohérents et logiques, ils apportaient tous de quoi à l’avancement de la pièce. Ils connaissaient très bien les textes, seulement deux (2) cafouillages par deux élèves différents. L’exagération était décevante puisque aurait dû apporter de l’humour à la pièce. Qu’est qui est pour le décor et l’éclairage, c’était numéro 1!
En général, la réalisation des étudiants du cégep de Saint-Jérôme était bonne, mais avec quelques aspects qui ont fait bifurquer l’attention des gens, comme certains costumes, objets et l’exagération qui n’avait pas ca place. Sinon, la mise en scène, l’éclairage, le décor et les connaissances des étudiants ont apporté une bonne note à leur