Abbassi Madani

portent pas de voile islamique. Depuis leur cellule, Abassi Madani et Ali Belhadj, les chefs politiques du FIS, continuent d’exiger que le gouvernement relégalise leur parti et négocie avec eux. Les autorités avant d’envisager toute discussion exigent que les dirigeants du FIS condamnent la violence. La situation semble se débloquer en septembre 1994. Le FIS envisage une trêve dans la lutte armée, de son côté le gouvernement sort Madani et Belhadj de prison pour les placer en résidence surveillé

plus médiatiques est celui du 24 décembre 1994, ou un commando du GIA détourne le vol AF 8969 qui s'était envolé d'Alger, avec pour but de le faire s'écraser sur Paris si les autorités algériennes ne libéraient pas deux des responsables du FIS : Abbassi Madani et Ali Belhadj. Mais le terrorisme en France est combattus grâce au homme du GIGN B) le GIGN Le GIGN (Le Groupement d'intervention de la Gendarmerie nationale )est une unité d'élite de la Gendarmerie nationale française spécialisée dans

constitution votée le 28 février 1989 autorisait le multipartisme et reconnaissait le pluralisme sous toutes ses formes (syndical, culturel…). Cette période était caractérisée par la montée de l'islamisme, le FIS (Front islamique du salut) de Abbassi Madani et Ali Benhadj, agréé le 14 septembre 1989, éclipsait déjà les autres formations politiques et était sur le point de s'imposer comme une alternative au FLN, parti au pouvoir depuis l'indépendance. Le FIS avait marqué des points lors du séisme

1994. Tout commence le 24 décembre, lorsque que ces 4 islamistes se présentent dans l’avion comme des policiers effectuant un contrôle des papiers de l’appareil. Ils exigèrent la libération de deux responsables du Front islamique du salut : Abbassi Madani et Ali Belhadj. Devant le refus des autorités algériennes ils tuèrent un premier otage à 14h. Le Premier ministre français Édouard Balladur voulut négocier la libération des femmes et des enfants en échange de l'autorisation de décoller pour

ANAS 127 V000300D BEKKOUCHE ABDELKARIM BELKACEM 128 JB509343 BEKRI KHALILE 129 U210699 BELGUEZZAR KHAOULA 130 K556483 BELKHAMMALI SAAD 131 JE304050 BELMOUDEN EL HASSAN 132 F682197 BELOUALI NADA 133 AE306719 BEN CHEKH FARAH 134 S798565 BEN EL MADANI MOHAMED 135 JM97003 BEN ESSAFI HANANE 136 CN45509 BEN HASSAN ISMAIL 137 CN48309 BEN JABAR ALI 138 EA229408 BEN ZOUBIR CHOUROUK 139 EE846868 BENADDI IKRAM 140 XA129121 BENAHMED OUALI GHIZLAN 141 AY11810 BENAISSA MOHAMMED 142 XA145519 BENAYAD

YAZIDI AKODAD OUSSAMA NAJMI ABDELILAH MOHAMMED ELJARHNOUNI SAIDI ABDERRAHMANE EL BARAKA MOHAMMED TOUILI ANASS OUALI MOHAMMED OUBARKA FATIMA ZAHRA MOKHTARI IBTISSAM TISSAOUI SANAA ZENASNI ASMAE AMJAHAD ISSAM MOUMEN SARA KAOUTAR CHAHI AMAHTIL HAFIDA MADANI AYOUB NEDBOR ANASS CHAFIK ZINEB HAMMOUDI HOUDA KABOURI RAJA ALAOUI-TAHIRI AMINE EL MOUSSAOUI TAOUFIQ EL OUALI RACHID MOHAMED EL BOUJI BIBOUDA ASMAE CHAKROUNI ASMAA BOUAMAR HACHIM FAZAZI IMANE EL ALLAOUI AMINA BOUTTE BADR EL OUAKILI SOUKAINA BOUKHARI

culturels. De nombreuses autres conventions : celles sur les droits de l’enfant, sur les droits de la femme, sur l’apartheid. b) La mise en place de mécanismes internationaux de protection des droits de l’homme Comité des droits de l’homme. Affaire Abbassi Madani. Les conventions sur la discrimination raciale, ou sur la torture, reprennent le même mécanisme. Des organes juridictionnels viennent rendre des rapports. Au plan régional, de véritables mécanismes ont été mis en place, au niveau européen par

Orthopédie Pr. MOUGHIL Said Chirurgie Cardio-Vasculaire Pr. OUBAAZ Abdelbarre* Ophtalmologie Pr. TARIB Abdelilah* Pharmacie Clinique Pr. TIJAMI Fouad Chirurgie Générale Pr. ZARZUR Jamila Cardiologie Janvier 2005 Pr. ABBASSI Abdellah Chirurgie Réparatrice et Plastique Pr. AL KANDRY Sif Eddine* Chirurgie Générale Pr. ALLALI Fadoua Rhumatologie Pr. AMAZOUZI Abdellah Ophtalmologie Pr. AZIZ Noureddine* Radiologie Pr. BAHIRI Rachid Rhumatologie Pr

Hommes et Sociétés Monia Lachheb est enseignante chercheure en sociologie à l’Institut supérieur du sport et de l’éducation physique de Tunis, associée à l’Institut de recherche sur le Maghreb contemporain. Ont contribué à cet ouvrage : Zohra Abbassi, Meriem Alaoui Btarny, Lilia Beltaïef, Jean-Marie Brohm, Isabelle Charpentier, Abdelghani Fennane, Claude Fintz, Corinne Fortier, Meriem Guellouz, Abdellaziz Hlaoua, Christina Jones, Monia Lachheb, Khalid Mouna, Zeineb Majdouli, Fatima Mazmouz

dans le Golfe, encore une première qui n’est pas passée inaperçue. Dans ce laboratoire culturel VIP, on recrute à tour de bras les artistes en vogue… mais on les licencie aussi d’un claquement de doigts ! — Je partageais mon bureau avec Nader Abbassi, le chef d’orchestre égyptien qui a dirigé l’orchestre à ses débuts, se souvient une ancienne cadre de Katara expatriée. Il s’est fait virer du jour au lendemain alors qu’il devait monter Aïda de Verdi. Je n’ai jamais su pourquoi il a été mis dehors