Aire de Wernicke

. . . . . . . . . . . . . . . . . . La fonction lin´aire ` seuil . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e a Un exemple de fonction sigmo¨ ıde . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le scalaire wij repr´sente le poids associ´ ` la connexion entre les neurones i et j. e ea Le perceptron de Rosenblatt . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Illustration du probl`me de la s´paration lin´aire de la fonction logique XOR. . . e e e Le perceptron

EthologieChapitre 1 : Sensorialité et Cognition (par cœur) Idées de bases : · La base de la cognition est la sensorialité. · Spécificité selon les espèces mais l’animal est un modèle pour nous dans différent domaines. · Le chien remue la queue pour s’auto apaisé, il fait redescendre une trop grande excitation. · Question des comportement conditionnés des chevaux en club· Selon l’espèce l’attachement est plus ou moins rapide. IntroductionDéfinition : L’éthologie

politique.) Il en résulte qu’un linguiste aurait bien de la peine à tracer une frontière linguistique quelconque et que ce type de problème reste purement politique. Autre aspect de la linguistique du 19ème siècle : Découverte des zones de Broca et de Wernicke : Principales zones du cerveau responsables du traitement des données linguistiques. Un autre domaine : la phonétique. Ce qui frappe surtout, c’est la diversité et l’étendu des intérêts des chercheurs de ce temps. L’hypothèse de l’origine unique

constate alors une importante lésion syphilitique de l’hémisphère gauche au niveau du lobe frontal. Il en conclut donc que cette aire cérébrale, située à la partie inférieure de la troisième circonvolution frontale gauche, dirige l’action de « la musculature bucco-phonatoire ». Dès lors, Broca développera le concept de « dominance » hémisphérique. • Dix ans plus tard, Carl Wernicke, neurologue et psychiatre polonais émigré en Allemagne, met en évidence une autre région impliquée, celle-là, dans la compréhension

comparer, chez un même animal, les périodes de « lésion » et de non « lésion ». Lésions chez l'Homme La pathologie humaine a fourni de longues dates des informations essentielles sur les relations entre le cerveau et le comportement. Broca et Wernicke (début XXème siècle) ont été les premiers à mettre en évidence les relations entre certaines parties de l’hémisphère gauche et le langage. Les différentes origines Les lésions cérébrales ont pour origine : des problèmes vasculaires, provoqués quand

sensoriels et surtout certaines régions du cortex cérébral permettant la parole. Le psychologue s’intéresse aux conditions neurologiques. Ainsi, sur la base de l’étude neurologique du langage, on a pu déterminer son siège dans l’hémisphère gauche, une aire corticale s’étendant depuis la terminaison des voies acoustiques et optiques jusqu’à l’origine des voies motrices gouvernant la musculation bucco-phonatoire et manuelle. Des chercheurs ont montré que l’acquisition linguistique demande la maitrise d’un

l’arrière du cerveau dans le cortex visuel. 2.  La lésion des aires V3 entraîne une perte de la reconnaissance de la forme des objets ou agnosie de la forme. Cela montre que ces aires sont spécialisées dans la vision de la forme. La lésion d’une aire V4 entraîne une perte unilatérale de la reconnaissance des couleurs ou hémi-achromatopsie. Cela montre que les aires V4 sont spécialisées dans la vision des couleurs. La lésion des aires V5 entraîne une perte sélective de la perception du mouvement

nombreuses ainsi que leurs classifications. Classiquement une caractérisation selon la fluidité du discours permet de distinguer deux grands types d'aphasies : l'aphasie de Broca (émission verbale réduite) et l'aphasie de Wernicke (émission verbale fluide). Aphasie A p h ade s iBroca e de Wernicke • difficultés dans le choix des mots avec jargonaphasie : • difficultés dans la possibilité d'énon- utilisation cer des mots, émission d'un mot pour un autre sans corri- stéréotypée des mots avec persévération

transformant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 193 7.1.2 Co-´volution transformatrice . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 195 e 7.1.2.1 Apports mutuels de l’id´ation et de la r´alisation . . 195 e e x 7.1.2.2 De l’avancement lin´aire du projet a l’al´atoire des e ` e moyens utilis´s pour progresser . . . . . . . . . . . . 199 e 7.2 A la crois´e de multiples disciplines . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 201 e 7.2.1 Approches s´miotiques et communicationnelles . .

représentée en fonction de sa densité en récepteurs et donc de son importance fonctionnelle. Le schéma de cette représentation constitue un « homonculus » difforme dans lequel la face et la main sont particulièrement bien représentées (figure 3). Figure 3 Aire somesthésique primaire A : Localisation de l’aire somesthésique primaire. B : Homonculus somesthésique. On retrouve, au niveau de l’aire somesthésique primaire, comme dans les autres aires sensorielles primaires, une organisation en colonnes corticales