Au voleur

L’Avare, Acte IV, Scène 7 [(Il crie au voleur dès le jardin, et vient sans chapeau.)] HARPAGON - Au voleur ! au voleur ! à l’assassin ! au meurtrier ! Justice, juste ciel ! Je suis perdu, je suis assassiné ! On m’a coupé la gorge, on m’a dérobé mon argent ! Qui peut-ce être ? Qu’est-il devenu ? où est-il ? où se cache-t-il ? Que ferais-je pour le trouver ? Où courir ? où ne pas courir ? N’est-il point là ? n’est-il point ici ? Qui est-ce ? Arrête 

HARPAGON (Il crie au voleur dès le jardin, et vient sans chapeau.) Au voleur ! au voleur ! à l'assassin ! au meurtrier ! Justice, juste Ciel ! Je suis perdu, je suis assassiné ! On m'a coupé la gorge, on m'a dérobé mon argent ! Qui peut-ce être ? Qu'est-il devenu ? Où est-il ? Où se cache-t-il ? Que ferai-je pour le trouver ? Où courir ? Où ne pas courir ? N'est-il point là ? N'est-il point ici ? Qui est-ce? Arrête ! (il se prend lui-même le bras.) Rends-moi mon argent, coquin. (Il

Au voleur ! au voleur ! à l'assassin ! au meurtrier ! Justice, juste Ciel ! je suis perdu, je suis assassiné, on m'a coupé la gorge, on m'a dérobé mon argent. Qui peut-ce être ? Qu'est-il devenu ? Où est-il ? Où se cache-t-il ? Que ferai-je pour le trouver ? Où courir ? Où ne pas courir ? N'est-il point là ? N'est-il point ici ? Qui est-ce ? Arrête. Rends-moi mon argent, coquin... (Il se prend lui-même par le bras.) Ah ! c'est moi. Mon esprit est troublé, et j'ignore où je suis, qui je suis, et ce

d'avoir été voler parallélisme L 11 à 12  mon pauvre argent, mon pauvre argent, mon cher ami sens : illustrer son attachement à son argent gradation L16 à 18 je me meurt, je suis mort, je suis enterré!... sens : ? Gradation L 2 à 3  au voleur, au voleur, je suis assassiné, au meurtrier... sens : ? gradation L 3 à 4  je suis perdu, je suis assassiné sens :pour dramatiser son sentiment ou l'idée de s'être fait voler. Hyperbole je suis assassiné, on ma couper la gorge. sens : ? - ...

Voleur Rat des villes, éclaireur, assassin, chasseur de prime ou traqueur… Peu importe les termes, l’artiste est le même : Le maître acrobate des ombres et de la malice, le Voleur ! Se mouvant avec grâce et légèreté dans les plus sombres ténèbres, le Voleur est avant tout un redoutable combattant alliant furtivité, rapidité, agilité, pièges, poisons et armes avec brio. Sauter par dessus quelqu’un tout en lui tranchant la gorge et retomber sur ses pieds en ayant en un éclair ôté une vie est une

 SCÈNE VII HARPAGON.Il crie au voleur dès le jardin, et vient sans chapeau..- Au voleur, au voleur, à l’assassin, au meurtrier. Justice, juste Ciel. Je suis perdu, je suis assassiné, on m’a coupé la gorge, on m’a dérobé mon argent. Qui peut-ce être ? qu’est-il devenu ? où est-il ? où se cache-t-il ? que ferai-je pour le trouver ? où courir ? où ne pas courir ? n’est-il point là ? n’est-il point ici ? qui est-ce ? Arrête. Rends-moi mon argent, coquin... (Il se prend lui-même le bras.) Ah, c’est

d’argent plus qu’au bonheur de ses enfants. De plus, il est amoureux de la même femme comme son fils, sans parler du fait qu’il a plus de soixante-dix ans ! Dans ce monologue, Harpagon découvre que sa cassette a disparu. Il crie « au voler, au voleur » et apparait très bouleversé. Il compare sa propre mort avec la disparition de l’argent faisant de grosses exagérations « c’en est fait, je n’en puis plus, je me meurs, je suis mort, je suis enterré ». Il parle à l’argent comme quelqu’un dont il

lot a un bout de couleur différente et chacune est brodée avec un «Monday», un «Thursday»… Pourquoi elles disparaissent ? Où se cache le monstre qui les dépareille ? «Sunday», pourquoi t’es toute seule, pourquoi ? Par Robert MAGGIORI Distributeur voleur Un café espresso. Non, un long. Déca, plutôt. Il n’y a pas de cappuccino ? Je vais prendre de l’eau, avec bulles. Ding. Ma pièce de 2 euros retombe d’abord. Je recommence. Ah, ça marche… Ben non. Rien. Ça me gave ! Où est ma bouteille ? Remboursez

Tout à coup Le Poittevin, qui restait, malgré tout, presque maître de lui, nous fit taire, puis, après un silence de quelques secondes, il dit à mi-voix : "Je suis sûr qu'on a marché dans l'atelier." Sorieul se leva comme il put, et s'écria : "Un voleur ! quelle chance !" Puis, soudain, il entonna la Marseillaise : Aux armes, citoyens ! Et, se précipitant sur une panoplie, il nous équipa, selon nos uniformes. J'eus une sorte de mousquet et un sabre ; Le Poittevin, un gigantesque fusil à

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