Châteaubriant

En mémoire aux 27 fusillés de Châteaubriant Discours hommage prononcé lors du 70ème anniversaire des martyrs de Châteaubriant, à la carrière de le Sablière par le préfet de la région Loire-Atlantique : « En ce jour de commémoration de l’exécution des 27 fusillés de Châteaubriant, je m’adresse à vous française, français ici présent ce dimanche 23 octobre 2011 pour remémoré ensemble ce qu’il s’est passé ici à la carrière de la Sablière, il y a 70 ans. Il faut d’abord commencer par rappeler qui

Gitem | 02 40 81 34 44 | 4 Rue Pasteur  44110 Chateaubriant | ACDE | 02.40.81.19.41 | Rue du general eisenhower 44110 Châteaubriant | BUT | 02.40.81.09.16 | Route de St NazaireBP 92 44110, Chateaubriant | Expert | 02 40 28 36 56 | Rue du Général Patton44110 CHATEAUBRIANT | Envie44 | 02 40 43 82 37 | 18 Rue Bobby SandsSaint-Herblain | Lemoine fabrice | 0240810013 | 6 rue saint jacque 44110 louisfert | C.S.A Ouest 

comme otages à Châteaubriant, Nantes et Paris. Deux jours après, le 24 octobre, 50 autres otages sont fusillés à Bordeaux après l'exécution d'un autre officier, Hans Reimers. Qui sont les 50 otages fusillés ? 1 | ALLANO | Maurice | 21 ans | Fusillé à Nantes. | de Nantes. Violences contre les soldats allemands. | 2 | AUFFRET | Jules | 39 ans | Fusillé à Châteaubriant. | de Bondy. Conseiller général de la Seine. | 3 | BARTHÉLÉMY | Henri | 58 ans | Fusillé à Châteaubriant. | de Thouars

villes s'arrête à Nozay. A Nantes, la gare routière est située à coté de la gare sncf. Pour les lignes lila il y a 3 parcours : Ligne 10 Rennes Derval - Nozay - Nantes - Blain - Héric - Nantes Ligne 42 Express Nantes - Nozay - Chateaubriant Ligne 44 Châteaubriant - Bouvron - Saint Nazaire Les car sont a 2 € le ticket ou un abonnement mensuel a 42 € Il y a aussi le tram-train qui désert les communes environnante (Annexe 2) Le territoire intercommunal est traversé par l’axe Nantes / Rennes

acte j’ai choisit comme document la lettre de Guy Môquet, mais aussi l’affiche avec l’avis du général Von Stülpnagel et le tract avec la déclaration du Président Roosevelt. Dans mon dossier je vais tout d’abord parler des 27 otages à Châteaubriant ainsi que les 16 otages à Nantes et les 5 à Paris. Puis je vais révéler la cause des 50 otages. Mais je vais aussi aborder le sujet sur les conséquences de cet acte insensé. [pic] Champ de tir du Bèle à Nantes lieu 16 fusillé

le plus jeune des condamnés", aurait confié Guy Môquet à l'abbé Moyon, qui assista les otages de Châteaubriant. De fait, dès l'Occupation, il a été célébré comme un martyr et nombre de groupes de partisans se sont réclamés de lui. Le document étudié porte sur la mémoire de la Résistance. C'est un texte du ministre de l'éducation nationale. Dans l'immédiat après-guerre, avec les "27 de Châteaubriant", il a incarné les valeurs résistantes et le sacrifice du "Parti des fusillés". Et puis le temps a

Les fusillés de Châteaubriant |Auteur | | |Nom |Cadou | |Année de naissance |1920 | |Année de décès

1944 (Jalons) 3- Film d’actualités évoquant la célébration des « martyrs » en octobre 1944 (Jalons) 4- Affiche de Simo sur Chateaubriant (1944) 5- Article de Jean-Pierre Azéma dans la revue l’Histoire (avec quelques coupes et séparé en 2 éléments distincts par nos soins) 6- Extraits d’un article d’historiens dans Le Monde sur l’utilisation des « martyrs de Chateaubriant » par le PCF 7- « La rose et le réséda », poème d’Aragon 8- Une réaction d’un journaliste d’extrême droite à cette commémoration

La lettre de Guy Môquet Châteaubriant, camp de Choisel (Loire-Inférieure) le 22 octobre 1941 Châteaubriant, le 22 octobre 1941 Ma petite maman chérie, Mon tout petit frère adoré, Mon petit papa aimé, Je vais mourir ! Ce que je vous demande, à toi en particulier petite maman, c’est d’être très courageuse. Je le suis et je veux l’être autant que ceux qui sont passés avant moi. Certes, j’aurais voulu vivre, mais ce que je souhaite de tout mon coeur, c’est que ma mort serve à quelque chose. Je n’ai

relâché. Au contraire, il est transféré à la prison de la Santé, à Paris, le 10 février suivant. L'adolescent s'impatiente, écrit au procureur mais rien n'y fait. Il est transféré à la prison de Clairvaux, dans l'Aube, puis au camp de Choisel à Châteaubriant, en Loire-Inférieure (Loire-Atlantique actuelle), où sont détenus d'autres militants communistes généralement arrêtés entre l'automne 1939 et 1940. Arrivé le 16 mai 1941, il est à la baraque 10, la baraque des jeunes où il lie de nombreuses amitiés