Chemin des Dames

de l’informatique et de la BCD (Bibliothèque Centre Documentaire)  pour les plus petits, José s’occupant de l’informatique pour les plus grands, une psychologue scolaire à l’écoute des enfants ayant des problèmes (scolaires, familiaux…) et quatre dames de cantine s’occupant de l’éducation au goût des enfants. Il y a également plusieurs personnes s’occupant de l’hygiène des lieux et Madame (nom) , directrice de l’établissement et enseignante en classe de CM2.   L’école est équipée  d’une BCD, où

hiver, elle republie son annonce, indiquant qu’elle recherche Célestin Poux. * Après son annonce elle ne reçoit que 4 lettres, deux la corrigeant sur le nom de la tranchée ¨Bing au crépuscule¨, l’une affirme que Célestin Poux est mort au Chemin des Dames en 1917, et la dernière est d’Aristide Pommier. * Sa lettre est datée du 18 Juin 1924, et il vit à présent au Québec. * Il raconte qu’il a rencontré un ancien soldat, Nathaël Belly, qui a été à Bing au crépuscule lundi 8 janvier 1917

CONTEXTE La chanson de Craonne est connue pour avoir été entonnée par les soldats qui se sont mutinés(dans une cinquantaine de régiments de l’armée française)après l’offensive très meurtrière et militairement désastreuse du général NIVELLE au Chemin des Dames. Au cours des combats ;les soldats français, partant de la vallée de l’Aisne ;devaient tenu par l’armée allemande. Ces révoltes sont sévèrement réprimées ;notamment par le général PETAIN nommé le 17 mai 1917 pour remplacer le général NIVELLE

décisive, les armées françaises lancent des offensives, en Artois en juin 1915, puis en Champagne en octobre1915, qui échouent en faisant au total 350 000 morts. Puis les offensives ont lieu en 1916 à Verdun et sur la Somme, enfin en 1917 au Chemin des Dames (Route de crêtes d’une trentaine de kilomètres de long qui domine d’Est en Ouest les vallées de l’Aisne et de l’Ailette). Ces dernières se heurtent à des défenses infranchissables et les pertes sont toujours hors de proportion avec les gains

autres soupiraient. Ils en avaient assez de marcher. Et puis il n’y avait rien à voir. Juste de l’eau, des rochers, et cette stupide tombe. Ils ont fait demi-tour et se sont dirigés vers la plage. Je ne les ai pas suivis. Au contraire, j’ai pris le chemin qui descendait vers la mer. Personne n’a fait attention à moi. Du moins c’est ce que j’ai cru. Arrivé au pied l’île, à quelques mètres de l’eau seulement, j’ai commencé à en faire le tour. À mes pieds, entre les rochers, dans les flaques, se pressaient

d'un nom sur un monument + tombe de nécropole nationale (Maurice Adolphe MAZILLE, ss-ltt au 63° B.T. Sénégalais, tué le 16/04/1917 à CERNY-en-LAONNOIS) et l'absence du même nom dans les "morts pour la France" ? Tué le 1° jour de l'offensive du Chemin des Dames, il ne peut s'agir a priori d'un fusillé pour mutineries, celles-ci ayant lieu un peu plus tard merci d'avance Le 20 novembre 2013, 14:12 par gerardph Nous connaissons depuis longtemps le site SGA, mais mes recherches ne me donnent plus

faire tous ce que à un seul voyaient plaire. Si quelq’un ou quelcune disoit : « Beuvons, » tous buvoient ; si disoit : « Jouons, » tous jouoient ; si disoit : « Allons à l’esbat es champs, » tous y alloient. Si c’estoit pour voller ou chasser, les dames, montées sus belles hacquenées avecques leurs palefroy gourrier, sus le poing, mignonement enguantelé, portoient chascune ou un esparvier, ou un laneret, ou un esmerillon. Les hommes portoient les aultres oyseaulx. Tant noblement estoient apprins

endimanchés. À la fin, me Dufour se décida : — « Oui, c’est bien, dit-elle ; et puis il y a de la vue. » — La voiture entra dans un vaste terrain planté de grands arbres qui s’étendait derrière l’auberge et qui n’était séparé de la Seine que par le chemin de halage. Alors on descendit. Le mari sauta le premier, puis ouvrit les bras pour recevoir sa femme. Le marchepied, tenu par deux branches de fer, était très loin, de sorte que, pour l’atteindre, me Dufour dut laisser voir le bas d’une jambe dont

ouvriers endimanchés. A la fin, Mme Dufour se décida: "Oui, c’est bien, dit-elle; Et puis il y a de la vue." La voiture entra dans un vaste terrain planté de grands arbres qui s’étendait derrière l’auberge et qui n’était séparé de la Seine que par le chemin de halage. Alors on descendit. Le mari sauta le premier, puis ouvrit les bras pour recevoir sa femme. Le marchepied, tenu par deux branches de fer, était très loin, de sorte que, pour l’atteindre, Mme Dufour dut laisser voir le bas d’une jambe dont

des amours: Roi Henri II entretient une liaison avec duchesse de Valentinois, la reine dauphine est aimé du duc d’Anville, le duc de Nemours rempote mains succès auprès des dames.4) L’intrigue principale du roman trouve son ressort dans l’amour et la passion amoureuse.5) De plaire à séduire et de séduire à tromper, le chemin est bien court. · La galanterie : un terme ambigu :1) « Galanterie blanche » : acceptation favorable, le terme est accompagné de « jeunesse », « joie »