Ésaü

deviendra ainsi la mère de jumeaux en conflit et de deux peuples formant deux nations. La postérité de l'aîné sera soumise au plus jeune « le cadet » Jacob. Jacob de l’hébreu, Ya’âqôv qui signifie « que Yahvé favorise » serait né en tenant son jumeau, Esaü, par le talon, comme pour sortir le premier. De ce fait, son nom signifie "celui qui tient par le talon", ou "celui qui supplante", car le nom de Jacob est la troisième personne du singulier de l'imparfait du verbe "âqab" talonner, supplanter. (Genèse

tonalité tragique. Au début du poème, les deux frères sont mentionnés ensemble pour souligner leur lien « de deux enfants chargés » vers 2, par la suite il sont évoqués séparément « Le plus fort » vers 3 fait usage d’un superlatif pour Esaü, « Ce voleur acharné, cet Esaü malheureux » métaphore vers 7, « Mais son Jacob, pressé » vers 11. Nous remarquons également, que les champs lexicaux de la violence et de la mort sont employés, « empoigne les deux bouts des tétins nourriciers » métaphore vers 3-4,

⋄ Bilan : Ces tournures contribuent à prouver au lecteur l'importance du sujet et la force de conviction du poète. B. Reprises de type anaphorique produisant de puissants effets oratoires • Répétition emphatique du démonstratif v. 7 : "Ce voleur… cet Esau" • Répétition mise en valeur en début de vers de "ni" v. 15-16 (anaphore) • Reprise insistante du possessif "leur" v. 17, 18, 19, répétée phonétiquement en écho par "pleurs, malheur, douleur, cœur…" ⋄ Bilan : Un effet oratoire certain qui

: Ces tournures contribuent à prouver au lecteur l'importance du sujet et la force de conviction du poète. B. Reprises de type anaphorique produisant de puissants effets oratoires Répétition emphatique du démonstratif v. 7 : "Ce voleur… cet Esau" Répétition mise en valeur en début de vers de "ni" v. 15-16 (anaphore) Reprise insistante du possessif "leur" v. 17, 18, 19, répétée phonétiquement en écho par "pleurs, malheur, douleur, cœur…" à Bilan : Un effet oratoire certain qui

-> Bilan : Ces tournures contribuent à prouver au lecteur l'importance du sujet et la force de conviction du poète. B. Reprises de type anaphorique produisant de puissants effets oratoires Répétition emphatique du démonstratif v. 7 : "Ce voleur… cet Esau" Répétition mise en valeur en début de vers de "ni" v. 15-16 (anaphore) Reprise insistante du possessif "leur" v. 17, 18, 19, répétée phonétiquement en écho par "pleurs, malheur, douleur, cœur…" -> Bilan : Un effet oratoire certain qui dramatise

De plus, je me suis inspiré des mythes del'époque de l'antiquité tel que le mythe des frères ennemis. L'historie de ce dernier est celui des frères Jacob et Esaü qui se battaient pour l'ordre de naissance, et cette haine donnera naissance à deux peuples différents conduits par chacun d'entre eux . C'est une des ressemblance avec les deux fils du roi Tsongor , donc Sako et Danga . Ces derniers veulent la succesion du royaume pour déterminer qui est le premier né et qui est le second . De plus, ces

d’autre pas dans ce texte, mais simplement d’appel : Parmi les fils d’Abraham, Ismaël représente les descendants selon la chair : il est le premier né. Isaac, lui, est l’héritier de la promesse, parce qu’il n’était pas fils d’esclave. Des fils d’Isaac, Ésaü représente les Juifs qui ont essayé de se justifier au travers de la Loi, et Jacob, le plus jeune représente ceux qui cherchent la justice par la foi en Christ : étant plus jeune, il a besoin de l’appel pour hériter de la promesse. La question : « Dieu

the Bible, relating the story of Esau and Jacob. The moral: being honest doesn’t mean success. During their youth, the twins were raised in the same environment and had the same teachings from their father Isaac and their grandfather Abraham. One day Esau returned from the field faint from hunger. His brother seized the opportunity and proposed to Esau to sell him some lentil soup which he had just cooked in exchange for his birthright as the older brother. Esau agreed and said: “I am going to die

deux enfants chargée.  Le plus fort, orgueilleux, empoigne les deux bouts  Des tétins nourriciers ; puis, à force de coups  D'ongles, de poings, de pieds, il brise le partage  Dont nature donnait à son besson l'usage ;  Ce voleur acharné, cet Esau malheureux,  Fait dégât du doux lait qui doit nourrir les deux,  Si que, pour arracher à son frère la vie,  Il méprise la sienne et n'en a plus d'envie.  Mais son Jacob, pressé d'avoir jeûné meshui,  Ayant dompté longtemps en son cœur son ennui

texte s'appuie sur une histoire biblique, celle d'Esau et Jacob, fils de Rebecca et Isaac (fils d'Abraham et Sara). Ce sont des jumeaux : Esau est l'aîné. Il est roux, poilu, chasseur, c'est le préféré du père tandis que Jacob est plus posé, et plus réfléchi. Il a d'ailleurs achté le droit d'aînesse à son frère contre un plat de lentilles. Suite à cet épisode, Esau veut tuer son frère qui fuit et reçoit un message de Dieu dans le désert. Ils font la paix mais cela reste deux frères ennemis. Les Tragiques :